Il y a le parfum de la terre juste après le coucher de soleil, le grincement du volet le soir quand on le ferme. Il y a l’odeur des vieux livres dans la bibliothèque, une petite couleuvre dans l’ombre des capucines. Il y a une mouche prisonnière qui frappe à la vitre pour sortir, le […]
via Bruno Ruiz / Toi — Bruno Ruiz dans le désordre

Délicat et sensible comme l’épiderme de la beauté.
Merci Anne.
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Des mots qui touchent à montrer, c’est la belle image.
Merci jesuisunenocturne.
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Bien sûr et rien d’autre
la mer en tenue de soirée et la terre en chemise de nuit, des enfants barbouillés de rire, beaucoup de vieux amants, du pain, du sel et de l’eau quel festin, du parfum d’aisselles et de l’odeur de foin, c’est le blé qui ondule à la fourche du chemin, sans oublier l’aile du souffle qui bat au poitrail de l’oiseau quand l’arbre surgit au centre du désert…
Tout ça après Toi mon Idéelle.
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La poésie de Bruno Ruiz c’est le bleu de mon quotidien qui a le tort de vouloir faire gris contre ma volonté, l’imbécile.
Merci Madame lit. Tendre pensée du seoir.
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Il arrive et c’est heureux que l’unicité se fasse plusieurs, de quoi écrire label histoire de famille ma Célestine.
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L’élégance fait place nette.
Merci ivanitch.
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Il y a bien un monde en dehors de tous ceux qui errent
Merci Audrey
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