Le long des Quais 7
Vivre c’est l’ouvrage que nous devons construire. Si l’on devait considérer qu’il arrive un moment où il est fini, on ferait l’erreur de n’avoir rien compris au sens intrinsèque de la vie. La notre n’a jamais été la vie, pas plus qu’elle le sera jamais. Elle est juste une pièce de sa charpente. Un de ses éléments constructifs ou démolisseurs. Les deux à la fois dans les grands passages de rénovation. On ne construit jamais sur la ruine. Chaque instant devient donc primordial. C’est toujours aujourd’hui que je dois vivre, pas demain. Je vis jeune tant je me fais vieux. Parce que ce que j’ai vu constamment dans ses yeux c’est la vérité, pas le mensonge qui arrange pour fuir. Je suis enclin à pleurer sans me cacher, n’importe quel jour de l’âge qui est le mien. Parce que j’ai pas d’érosion de ma sensibilité. Et surtout pas honte de mon âge. Les voies de la raison n’ayant de sens que si leurs aiguillages sont connectés sur la folie. Pourquoi ce serait toujours mieux derrière. La seule réponse qui me vienne serait que je ne sais pas faire présentement et encore moins devant. L’amour n’est pas le passé, l’amour ne peut qu’être l’avenir.
Niala-Loisobleu – 15 Novembre 2017

…donc…chaque instant devien….primordial
Vous êtes fort,jeune..Méditez
chaque jour,écoutez la musique..continuez de travailler,d’ecriré pour transmettre l’amour et la lumière…et que l’Amour grandit en Vous !
Donc: remonter Vous- encore et encore…et des très belles pansees à Vous…Amicalement et en lumière !!!!!!!
J’aimeAimé par 1 personne
Maidan, tu rayonnes, à la fois parfum végétal que la terre a humanisé, vas et viens comme une harpe, eau cristalline !
Je te
Merci !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J’aimeJ’aime
Tard dans la Vie
Je suis dur
Je suis tendre
Et j’ai perdu mon temps
A rêver sans dormir
A dormir en marchant
Partout où j’ai passé
J’ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant
Mais je porte caché au plus haut des entrailles
A la place ou la foudre a frappé trop souvent
Un coeur ou chaque mot a laissé son entaille
Et d’où ma vie s’égoutte au moindre mouvement.
Pierre Reverdy
Extrait de: La liberté des mers
Et ce marteau qui a cogné au burin a taillé un sacré chemin !
Merci Ivanitch
J’aimeJ’aime
Lève -toi , me dit une ombre, oublie les miroirs, les images et les parfums
Celui qui connait la géographie des sentiments
qui peut lire le sens caché des choses
traduire les silences
Et apaiser l’inquiet
Celui qui sait de la douleur
L’extrême brûlure
Celui-là a tout compris
Traverser le mur
Atteindre la niche
Et faire ses ablutions avec la pierre du Temps …………………………
J’aimeAimé par 2 personnes
Connaître la raison du frémissement c’est ignorer la question sur le bien-fondé de la folie.
Merci falbala10
J’aimeJ’aime
Bon jour,
Belles réflexions, sincères. Et cette sincérité envers soi qui primordiale.
Max-Louis
J’aimeAimé par 1 personne
Toujours devoir se glisser entre ses deux. La seule façon de se choisir soi.
Merci iotop.
J’aimeJ’aime
L’eau coule le long des quais Il lui arrive de rester à l’arrêt, un pont, un arbre avec qui discuter ? Bof à moins d’un chien qui lève la patte et court avec les oiseaux, avec qui parler ?
Merci joaileblog
J’aimeJ’aime
Le manque d’adhérence est propre à la surface. Si tu ne sais gratter la guitare, il n’en faut pas attendre de son.
Merci tracesdusouffle.
J’aimeJ’aime
T’es beau comme le bon pain, mon zoizo, n’en doute jamais.
Et je t’aime comme t’es.
¸¸.•¨•¸¸.•¨• 🦋
J’aimeJ’aime
Merci de cette place où tu me mets, elle me touche en profondeur❤️🦋❤️
J’aimeAimé par 1 personne
Sauvegarder les poètes, c’est comme protéger les baleines ou les grues cendrées.❤️
J’aimeJ’aime
Cendré Meuse je trouve sabot❤️🦋❤️
Envoyé de mon iPhone
>
J’aimeJ’aime
Sans errance ces promenades tiennent bien l’amarre avant d’appareiller.
Merci Marguerite.
J’aimeJ’aime
Jetant l’oeil à la rencontre d’un autre lieu, il y eut un mouvement de roue. Non pas de paon à proximité. Le vélo vint les maints en haut du guidon.
Merci beatricelise.
J’aimeJ’aime