Are mou Rindinedha
Du lointain tu m’es toujours près
Voile qui pousse
depuis la plus l’antiquité
Muse je t’aime dans le marbre
N-L – 14/11/17
Du lointain tu m’es toujours près
Voile qui pousse
depuis la plus l’antiquité
Muse je t’aime dans le marbre
N-L – 14/11/17

INCOMMENSURABLEMENT
Ombres ailes
ta voix au soleil bronze des reins
tu pleus rire j’ai mis mon costume marin
ma foi reembobine l’écran de plusieurs images
c’est vrai que je préfère de loin ton visage
aux mires de Sire Grévin
Selon l’accent qu’ont certaines minutes
les heures n’ont plus les mêmes kilomètres
question d’étalon-aiguilles
Et de la rue du tant qui passe
une odeur de refus moud le poivre au pré salé
roulant d’un cri de guitare sèche les pluies de la tristesse
pendant que Prévert lève la pointe du pied pour replanter les feuilles mortes
Des cris de mouettes s’envolent du môle
tirant le chalut au trait d’argent battant des ailes
battement d’ouïes tu m’as glissé ton assentiment
La marchande de crevettes a sorti les roses du gris
pendant que les enfants jouent à colorier les nuages
Mon Amour mille et une nuits bassinent les draps
Ce soir deux fois deux mains feront l’anse de palmes yé
.
Niala-Loisobleu
14 Novembre 2017

Du vent
où tu t’aies roulée
ton odeur de femme
déploie l’ineffable offrande
Espoir silencieux qui s’exprime.
Niala-Loisobleu – 14 Novembre 2017
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