VERT
Quelle mer la baigne d’étoiles
toujours si verte à l’arête
Du coquillage qui nacre
baille-là belle vert de claire
Ce qui gonfle ta poitrine de fruits lourds
nourrit mes deux mains vers
Non ton triangle ne Bermudes
il est d’un verre grossissant
La lanterne de ta bouée décline en vers
sonnet à tirer un bord allumé après l’autre
Niala-Loisobleu – 12 Novembre 2017

Bientôt s’ajoutera le suc de l’olivier porté par l’oiseau blanc d’une autre société§
Merci Sisyphus47.
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Puis ce que nous n’aurions pu entendre dans un univers domestiqué reviendra verser son sauvage !
Merci Boris.
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Quelque chose de corsaire vînt lui prendre les reins. La musique d’une station pirate ? Oh, non laissons ces histoires à la noix du cinéma de science-fiction aux américains.
Là où la rivière prend son luth il n’y a qu’un homme simple aux pieds non fourchus, qui vit sans se faire de films. Elle est d’ailleurs là à cause de ça, son vert à la main !
Merci Anne.
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Le vent se saisissant d’un coin de la mer fit onduler sa surface entière. On aurait dit que les nuages s’étaient noyés tant le vers était bleu !
Merci joaileblog.
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Le temps est aux titres, dit-il opinant de l’hochet
Pas nouveau répond l’oiso, le Napoléon l’avait mis à l’honneur. Aussi est-il possible de savoir jardiner sans prétendre obtenir un macaron au Michelin.
Merci iotop.
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Si je fuis le compliment il est de fait que je m’arrête à ce que j’admire peut manifester. Aussi ne te cacherai-je pas que je suis touché par ton signe tracesdusouffle. Merci.
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Dans un tas de fumier il n’y a pas que de la merde. Plutôt dans la merde il n’y a pas que du caca. Il ya aussi une fleur pure.
Merci ivanitch.
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