Voilà l’atelier les yeux grands ouverts
Derrière les montées de l’harmonica, le fer à cheval balance sur son sabot. A la une des journées pas de gros titre sur le dernier souffle de l’éolienne qui tirait l’eau à la ferme. La marque laissée par les roues, aube d’un sentiment autour des piles du pont. Sans doute restera-t-il un goût d’écrevisse au-delà de l’enfant que je suis. Le caillou qui bat dans ma poche se blottit contre ma cuisse sans que Jupiter la ramène. Quel goût a-t-elle ? Le mystérieux assemblage d’une aisselle qui se serait descendu la colonne jusqu’au mont de Vénus. Mystère olfactif qui retourne sans cesse au premier cri. Les murs de l’atelier tendent le clou pour se faire accrocher, retour d’expo, dans l’atelier le regard des visiteurs a suivi.
Niala-Loisobleu – 7 Novembre 2017

Tremblements du clair-obscur dans lequel la sensibilité se fraie son chemin. Flamme au doux touché.
Merci Elisa.
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L’endroit est pour le moins curieux, ça ne date pas d’hier. On accroche son humeur partout où l’on passe. Les cartons à desseins en sont pleins.
Merci tracesdusouffle
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Dans une surface minimale un atelier contient plus qu’un entrepôt. Normal il ne n’y a rien qui soit marchandise.
Merci Boris.
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A croire qu’il est amoureux l’atelier…..il frétille comme un gardon de me voir revenu près de ses odeurs de couleurs.
Merci isoptech.
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Une grande ourse dans la poche, tes cailloux me dessinent des étoiles mieux que le guide Michelin
¸¸.•¨• ☆
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Le bid’un d’homme y Nous les gonfle un max.
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