Je suis un trou de pigeonnier
dans le mur de la Vie
Bordant la côte et sans amarre, regarder derrière sa carte entre ciel et mer pour comprendre où continuer. L’émotion tient la plus large part. Croisant les regards avec les mots que les tableaux ont fait sortir des murs.
Rien à dire, tout à porter. Ensemencé du grain venu de loin, de tout près, d’ailleurs, pour lever au m’aime endroit.
Le premier tableau tire un si long train d’oeuvres, qu’aucune force motrice autre que l’Amour n’aurait pu le faire avancer à travers des chants, des cris, des sourires et des larmes à la jetée des estrans.
Les premiers visiteurs. On se revoit de si loin, vivants au-dessus d’un moment mis en consigne. Comme de près, neuf, nouveau mais sans question se demandant d’où il vient.
L’Homme n’est que le vivant de ce qu’il préserve en lui, une peinture à venir, en attente dans un univers en sommeil. Je suis un trou de pigeonnier dans le mur de la vie.
Niala-Loisobleu – 5 Novembre 2017

Nous ne sommes qu’un mode de locomotion. Chacun son choix air-terre-mer, chacun son réseau.
Merci affranchie .
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Oui n’avoir d’autre chose à faire qu’à vivre son rêve. Je suis donc le trou qu’il me faut combler. Aller au bout. Tenir ce qui est né, mieux que d’une promesse, d’un acte poursuivi. Le jour d’Amour ne doit pas avoir de soir. Ainsi soit-île mon Idéelle.
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kreakhaos, les couleurs passent et repassent, rien n’es plus froissé, devant l’horizon se déplisse, merci !
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J’ai vu la treille prendre la place du plat fond. Alors j’ai donné libre cours à l’air.
Merci Manache.
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La rondeur du pigeonnier va à mon esprit carré. Aucun heurt n’arrive.
Merci Sisyphus47.
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Quand je reçois ce type de signe je sais qu’il y a la protection de bonne intellignnce qui se manifeste.
Merci Boris.
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Le gris du biset, fait venir du bleu du fond de la plus ancienne histoire.
Merci isoptech.
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Assainissement de Novembre, le Sagittaire que je suis à pas besoin des services de voirie pour faire que l’ô coule normalement dans le caniveau. Il arrive que le bouchon soit plus gros que dab…mais là tout se fait net avant qu’on soit au 24.
Il y a du froid dans l’air mais c’est autrement plus vivifiant qu’une fausse chaleur qui vous anéantit crasseusemment. L’océan m’a dit Bon Jour et la cabane a ajouté: t’en fais pas il n’y a que ce qui est faux qui ne tient pas. Que ce bon signe vienne jusu’à toi Célestine !
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Le trou que je suis roucoule en corps Elisa, merci !
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