Un halo pendu à la poignée du coeur
J’ai cris de la main gauche de la buée d’yeux sur les nappes. Du ciel et de la mer pour pouvoir lire l’un dans l’autre comme les ambulances du rétroviseur.
Un halo pendu à la poignée du ccoeur.
Du carreau, le sel par le soleil naît de la mer.
Quand je lui fais pouette-pouette dans son embouchure, mon encornet lâche son encre. L’amour jazzy ça décave les bougies du porte-bouteille. J’ai quel âge que ça peut foutre .
Niala-Loisobleu – 28 Juillet 2017

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