L’Air


L’Air

par Jacques Dupin
 
 

Le corps et la rêverie de la dame
Pour qui tournoyaient les marteaux,
Se perdent ensemble et reviennent,
Ne rapportant de la nuée
Que les guenilles de la foudre
Avec la future rosée.

 

L’Expérience mon Petit, l’Expérience…. Ah que me l’a-t’on dit…et pourquoi ? Ma foi jamais ô grand jamais de tous mes coups foireux celui qui se prend vraiment comme unique est bien celui de cette année. Au point que les garde-fous sont à revoir au sens dimensionnels afin d’éviter la nullité de sauvegarde. Ouah, la tartufferie… là elle dépasse les prévisions les plus pessimistes…

Mais quoi demeure quoi ?

Qui reste qui ?

Le vieux train à la fumée théâtrale, nostalgie, mais rien qui garde le mouchoir en dehors de l’escarbille. Je pleure, oui, mais affligé des coups par derrière. Je marche pas au bouche-trou, simplement, très simplement au besoin.

Tricheurs de tous pays, faut que je vous vomisse et vous laisse à vos comédies. Petits, tous petits, petits. Allez de l’air !

Niala-Loisobleu – 27 Août 2017

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5 réflexions sur “L’Air

  1. Les fausses moustaches si ça barbe, c’est pas grave, on peut jouer sainement avec. Les faux sarments c’est pas pareil, ça fait du vain qui brûle la foi. Où que l’on se tourne c’est bobard à la une, mais comment peut-on arriver au stade d(une telle inconscience de croire ?
    Merci Audrey.

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  2. Le mauvais pétale c’est celui qui dit pas du tout, quand il fait semblant de dire tout en mentant. Lui redonner son refus voilà ce qui remet les choses en ordre et l’ordre dans ce foutoir de boxon de merde lui redonnerait un visage qui ferait plus semblant.
    Je t’embrasse de vrai Marguerite.

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