Par le gros oeil de bœuf, la mansarde se laisse aller. La chaleur au dehors moite les zèles, juste ce qu’il faut pour oser. Le vent mutine, le ballet des fourmis s’enhardit des tutus sur la pointe des grands écarts. Sortis des soutifs de la haie, des seins fleurs halètent. Ils ont vu les acrobaties du petit papillon bleu. Leurs petits bouts se tendent comme un suc de grosse fraise. Le voici héros sans l’avoir cherché. Mais qui pourrait s’en plaindre. Ses ailes rieuses en font un manifeste de joie de vivre. Je n’ai que rêve en état permanent au jardin, dit-il en virevoltant !
N-L – 25/05/17

Fonder sous la chaleur d’un monde glacial ?
Merci Sisyphus47
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L’effet mère tangue comme aucun autre !
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L »éphémère papillon retiens son rêve de toutes ses forces
Merci carnetsparesseux.
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Voyage, voyage et voyage !
Merci affranchie.
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Mes rêves voyagent sur l’éphémère bleu 🦋
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Avec ses zèles le papillon bleu semble tellement à l’aise , que le jaune en tournant autour, se demande si c’est vraiment lui qui a gagné l’étape…
Merci isoptech.
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Savoir ce qui peut bien se passer dans la cervelle d’un papillon, bleu de surcroît, ça relève d’un sens tellement au bord du critique qu’on aura pas le temps de lui expliquer. Enfin un moyen de faire simple !
Merci bukurie.
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