SONGE AQUATIQUE
Sorti du monde grouillant, cette nuit j’ai voyagé dans un rêve couleur pastel où chaque étage de l’immeuble dans lequel j’étais avait des paliers sur lesquels des portes donnaient sur l’infini. Perspective indiscutablement sur l’ouverture. Rien que dans l’intime. Si la vie politique et son verdict dominical y était couchée sur une page, ce n’était pas à la première. Il s’agissait d’un chemin strictement personnel. Etrange tout était dans l’eau. L’escalier et les étages avec les appartements se trouvaient dans le bassin d’une piscine. Une musique transparente aussi bleue qu’aquatique portait le corps dans une lévitation apaisante. Je n’ai pas souvenir d’avoir croisé des épaves ou tous corps dangereux. L’impression de sérénité que j’en retire maintenant levé, m’amène à en déduire une prémonition heureuse. Comme il pleut dans le jour naissant je vais aller nager en pédalo. Dans le coeur j’ai une irrésistible en vie d’aimer.
Niala-Loisobleu – 6 Avril 2017
Niala-Loisobleu 
La ville revenue aux eaux douces, sans qu’une station d’épuration politique soit indispensable, je vais tout entier à la nage.
Merci Margot.
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Si mes nuits portent des rêves, le fait que je dorme en un jardin charnu où la lune est fière des ses rondeurs, ça n’est pas pour rien. Bien calé des pieds contre une grosse pierre, j’ai mis ma tête aux clapots du courant. Ma parole j’attrape encore la truite sauvage à la main tant la nature est vive. C’est peut-être pas l’Eden, mais ça y ressemble drôlement quand j’entends sonner les seins pleins aux branches des fruitiers. Pas loin il parait qu’une vieille république à du mal à tenir sur ses jambes, quel cauchemar. Je reste à poil à me baigner sans rien penser de mal mon Idéelle, non rien que du bon comme on dit quand c’est week-end !
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L’eau porteuse génère par sa roue à aubes.
Merci isoptech.
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De ma plume de canard, je ne fais pas la une. Merci Célestine.
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Allo, à l’eau? Il fait beau à aimer le bleu infiniment 💙
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Où ça mouille, j’encre de plain-pied, Namarischa !
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