SOLITUDE Ô RICHES HEURS
Tes parfums venus du vent
libres de droit
me collent à la peau
mieux qu’un flafla con vide
Imberbes buissons fanés
d’une compagnie sèche
que j’arrose de solitude
Niala-Loisobleu – 6 Avril 2017

Tes parfums venus du vent
libres de droit
me collent à la peau
mieux qu’un flafla con vide
Imberbes buissons fanés
d’une compagnie sèche
que j’arrose de solitude
Niala-Loisobleu – 6 Avril 2017

Sorti du monde grouillant, cette nuit j’ai voyagé dans un rêve couleur pastel où chaque étage de l’immeuble dans lequel j’étais avait des paliers sur lesquels des portes donnaient sur l’infini. Perspective indiscutablement sur l’ouverture. Rien que dans l’intime. Si la vie politique et son verdict dominical y était couchée sur une page, ce n’était pas à la première. Il s’agissait d’un chemin strictement personnel. Etrange tout était dans l’eau. L’escalier et les étages avec les appartements se trouvaient dans le bassin d’une piscine. Une musique transparente aussi bleue qu’aquatique portait le corps dans une lévitation apaisante. Je n’ai pas souvenir d’avoir croisé des épaves ou tous corps dangereux. L’impression de sérénité que j’en retire maintenant levé, m’amène à en déduire une prémonition heureuse. Comme il pleut dans le jour naissant je vais aller nager en pédalo. Dans le coeur j’ai une irrésistible en vie d’aimer.
Niala-Loisobleu – 6 Avril 2017
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