SOUFFLE HALETANT
Je te sais à connaître
Ma veine bleue
Ta lèvre haute
Verticale chevaline
Tu n’es là
Ni ailleurs
Avec ta certitude
D’être présente
Je marche sur des poignards
Acérés
Quand tes seins s’enferment
Au clos de la muselière
Dans le monde absurdement contraire
Où les lises racoleuses
Te retiennent muette
Toi qui te sais non parjure à ta promesse
Tu as besoin du silence de tes coucous
En attente du bruit du caillou
De retourne ovaire alpage
Auquel ton ventre tend l’oreille
J’ai pas changé une foi
Pour trouver ta clef de vanne
Dans une pochette-utérine-surprise
Méprendre pour un autre
Servirait à quoi
J’ai ta certitude à mes pas
Je ne changerai pas de toi
La quincaille ni l’orfèvrerie
Je te bois telle que t’es
Fraîcheur chaude aux rigueurs du chemin
Niala-Loisobleu – 5 Avril 2017

J’ignore ce qui te tiens à venir si près du loin teint. Ce qui nous rapproche.
Merci carnetsdedestinées.
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Le désert est si beau quand du mirage je vois la dune devenir ton ventre…
Merci Stéphanie, bisous !
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Des syncopées qui halètent…
Merci Marguerite
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Faire bouger l’écran plat de son souffle, comme une aire de re pot qui conte pas sur la chance.
Merci Margot.
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En embrassant les pôles, dresser la verticale du zénith, c’est haletant.
Merci Boris.
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Haletant qui passe conte énormément Célestine.
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Oui c’est sûr, et je m’emploie à chaque minute à le vivre du mieux possible. 💖
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Ce qui soulève au-delà de la raison, passe le rempart des mauvais arrangements avec sois m’aime, Lisi,
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