Alors non de Dieu, bouges-toi les manivelles
t’es tout p’tit, décapotes et pleut
ça nettoie
pour qu’y r’fasse soleil
Ton Papa
N-L – 25/11/16
Alors non de Dieu, bouges-toi les manivelles
t’es tout p’tit, décapotes et pleut
ça nettoie
pour qu’y r’fasse soleil
Ton Papa
N-L – 25/11/16
Quand mon épaule s’est retournée
ta porte a laissé un trouble au-delà d’un cri de défense
Cet effroi du couloir de ton école a pétrifié l’éclat d’un sourire enfant
Pourquoi à l’affiche avoir mis un titre en place d’écrire parodie
et m’avoir rejoué mandoline la scène d’étroits coups
avec accessoires petits-enfants
et roses blanches
en inversant la chute
puisque de plus ô
me voilà qui en retombe
plus exsangue qu’un s’que l’être a de plus décharné d’âme ?
Je me revois plein d’entrain en gare d’Angoulême; le coeur à la boutonnière, partant pour continuer de refuser la vengeance d’une disgrâce criminelle. N’est pas pour moi de se morfondre en attendant de pouvoir s’appeler Monte-Cristo. Quand derrière un prétexte, tu as mis Papa je t’aime, j’ai rien vu…
d’autre que te retrouver
tout pareil qu’une vieille quête que je marche sans faire la manche.
Mon Fils vouloir être authentique
c’est d’abord ne pas s’affubler d’autant de masques qu’il y a de possibilités de ne jamais être un Homme. Je saigne de ce coing planté à fendre…
Quand tu y seras…mais plus avant…fais-moi signe
je n’ai jamais quitté ma place
Niala-Loisobleu – 25 Novembre 2016

Un vernis de finition à craqueler qui balade son air fatigué, son odeur de peinture fraîche, m’a fait penser aux arômes de terre retournée qui vaporisent les salades d’un craquant artificiel au banc des supermarchés.
De la chasuble aussi, tâchée de vain de messe, dans le ton de franchise d’un fac-similé de confession. On oublie pas de lire à l’intérieur des yeux, quand on écoute l’interlocuteur. Jocriss jure toujours sur la Bible, ne dire que (sa) vérité. L’humidité plaque ses nitres aux parois dans le secret espoir de gagner les chèvres.
Débat et des bas
la sauce allonge le légume de peint sec…
Cette maison du peuple qui louvoie au long de ses interminables couloirs, digresse, plein de poches sous les yeux, en promettant un changement ressemblant comme dégoûte d’ô au précédent.
Entre un gardien d’hangar à sous-marins de Bordeaux et un pilote à bord du cargo, y a pas photo. Les navires marchands n’ont pas à craindre les mauvais bancs de sable de l’estuaire pour aller commercer au large de la mer morte franchouillarde.
Depuis le temps que les barons s’emplissent les fouilles, faudrait revenir à la cotriade qui partage la pêche entre les marins. En donnant à l’envi, le courage de sortir de la galère.
Niala-Loisobleu – 25 Novembre 2016



Quand on a le vent, qui ne vous a pas quitté de la nuit, on peut pas s’étonner d’avoir eu un rêve dedans, encore frais au matin. Les choses c’est mouvant. Le cheval que je suis sait pertinemment qu’il est un train qui va sans cesse des quat’-ça-beau.
A cette époque, tous les ans sont remuants. L’Atlantique se met à mouliner en tirant les chasses. Nettoyage intégral.Donc il y a…(croyez-moi ça fait un temps certain) y devait tromber fort d’eau en rafales, tout comme aujourd’hui.
Et alors ?
Racontes, ne nous fait pas sécher…
Ben,
dans mon tout petit coeur c’était grand soleil, lumière bain d’amour, innocence au point que ça n’allait pas dérailler de mon p’tit-vélo du début à la fin (je la retarde tant que j’peux). Un vrai Sagittaire pétillant d’un feu pouvant faire l’impasse de fait nix.
A l’acte et que ça saute !
a gravé mon subconscient dans le mode d’emploi joint à l’expulsion du bassin maternel…il y a…
Oh, tout bien conté, c’était hier, mesuré à partir de l’esprit qui, lui, s’en tape l’oeil de la course à pied et du saut à la perche.
Les records c’est juste fait pour tomber.
Mais à l’exemple des fourmis, transporter c’est une autre perspective. Il y a du roman, de l’origine langue d’oc dans ce symbole. Une architecture sans cesse en construction. Un chant grégorien qui s’élève sur la voûte étoilée…L’Amour au bout du doit. Du Sacré…
J’odysse
au tracé
du flottant de ma Dame.
Que j’en ai les yeux qui mouillent de bonheur
de la savoir…
au milieu de cette construction de ruines en tous genres
et sous la pression des tortures que le bulbe impose à la nature
Entière et toute Blanche…
imagines
mon incapacité à dire cette émotion
ce Tout
d’un seul Je t’Aime manifesté
Immense
Colossal
Magique
the Mystère ouah…
Vivre ô le cadeau !
Merci de m’avoir laissé venir allumer d’un chant de fleurs cet Autre jour sans souffler de levure, l’humble pâte du peint pétrie de mes mains. Chair à chair.
Je suis sûr qu’il y a…83 ans…tombât de l’ô à sauts au point que chat tisse en corps aujourd’hui !!!
Niala-Loisobleu – 24 Novembre 2016

Relevant le plissé de la jupe du nuage, que je conduis, j’avisais un banc-étape.
Et tape dans tes mains, entonna le volant en rétrogradant, volets sortis, entrain pareil pour négocier une pose café dans un jour de merde ordinaire.
Les cafards autour de nos ruches bectent le remorqueur Abeille au point que le sauvetage dans l’amer c’est miction impossible. Tu te retrouves l’entre-jambes en auréole pis pis, avant d’avoir eu le temps d’engager la conversation avec une dame-toilettes. Ah oui ça craint grave. Difficile pour les ténors de la carambouille d’arriver, malgré leurs talents dans le métier d’imposteurs, à contrecarrer les embuscades journalières. Le théâtre de boulevard, basé sur le malheur conjugal et la gloire du cocu, a largement dépassé l’interdiction au moins de 10 ans. Les mômes largués dans une éducation nationale décadente, commandent leur kalatchnikof directement au Père Nono avant la sortie des catalogues de la rentrée des classes. Ils se cherchent et se trouvent dans la violence sur console…Pas besoin de l’allocation pour fournitures. Le mino se fait sa grand-mère après stage formation tuyau d’poils avec sa mère et ses soeurs (quelque soit l’ordre chronologique). Que baiser, c’est ce qu’il doit connaître,au propre, enfin c’est une façon de parler, comme au figuré, le savoir faire pour entrer au chômage. ..
Une farce l’école, bientôt bac +illimité et plus con tu meurs.
Pour peu que ton père foute son camp, que tes dépenses dépassent ton revenu d’espérance d’envie, où tu vas ?
Le suicide est mis à la mode. Le flic muni si pâle vient d’être nanti de l’âme fatale.
Merde avant que la salope de Marthe Richard ait fermé les boxons, on avait une moralité qui marchait à l’amble de la chasteté. T’envoyais ton lardon à Jésus sans t’inquiéter pour sa rondelle. A moins d’aller dans la marine, il partait plus bleu qu’une novice. Maintenant ça ravage, ils sucent plus leur pouce avant sevrage, mais sont champions de la turlute au Jardin d’Acclimatation, en lieu d’un lavage de pare-brise au feu rouge…
Et la blanche leur bouffe le nez dans les salles de jeux où y jouent aux fléchettes à la seringue. A côté d’ça la guerre se cache derrière des slogans pour l’ONU. On te rase gratis une ville pour l’accoler au désert. Mais les migrants sont une sorte de promesse mal définie pour l’à venir. Les villes ont des rues de boutiques fermées, vive la prolifération des zones. Au moins le SDF peut rêver qu’il est proprio de son trottoir.
Tout çà pour ça quoi ?
Parce que le mot râle en a marre…
Et qu’il se pourrait bien que ça change en faim.
J’ai envie de voir du soleil, du soleil, du soleil et vite avant qu’on doive couper l’Ô…
J’veux pas être que triste…j’ai pas fini de vouloir aimer !
Niala-Loisobleu – 23 Novembre 2014

La liberté naît, la nuit, n’importe où, dans un trou de mur, sur le passage des vents glacés.
Les étoiles sont acides et vertes en été ; l’hiver elles offrent à notre main leur pleine jeunesse mûrie.
Si des dieux précurseurs, aguerris et persuasifs, chassant devant eux le proche passé de leurs actions et de nos besoins conjugués, ne sont plus nos inséparables, pas plus la nature que nous ne leur survivrons.
Tel regard de la terre met au monde des buissons vivifiants au point le plus enflammé.
Et nous réciproquement.
Imitant de la chouette la volée feutrée, dans les rêves du sommeil on improvise l’amour, on force la douleur dans l’épouvante, on se meut parcellaire, on rajeunit avec une inlassable témérité.
Ô ma petite fumée s’élevant sur tout vrai feu, nous sommes les contemporains et le nuage de ceux qui nous aiment !
René Char
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Sorti d’une lassitude un cri populaire a dit son refus d’être mis en boîte
au garde-à-vous d’un mot d’ordre partisan
Colère
refus
populaire
La carte de France à l’exception de l’Aquitaine a dit Fillon nous à lui
J’en fus
et j’en serais
fier de refuser d’être des Chartrons
un vaniteux juste soucieux de mettre
Bordeaux
comme nouvelle capitale
Je suis du TOUT hexagone
pas
seulement intéressé par un clan bourge et méchant
préoccupé par des intérêts locaux
Juppé
c’est du pareil au même
Hollande
Sur tout
pas faire une seconde fois la même erreur.
Niala-Loisobleu – 23 Novembre 2016

Des couleurs dont je suis né, j’ai le sang des chemins verts
Verts le dépassement, verts la pensée,
verts la transcendance,
verts tout ce qui entre dans l’espoir.
L’espoir pour un monde plus humain, naturellement,
mais l’espoir de faire
sans attendre
d’un Messie
que ça tombe du ciel…
Le ciel nous en sommes le pilote.
Car c’est de notre ciel qu’il s’agit.
Notre ciel incluant notre environnement
quelque
ÎLE
soit.
La vie est belle au naturel d’une saloperie ambiante.
Je ne vais pas dégueulasser les couleurs qu’elle m’a donné.
J’ai à mon âge, les jambes du gamin qui m’a fait découvrir tout seul le trésor
de mon Paname.
J’ai à l’âge que j’ai le m’aime sourire du môme qu’on recevait de plaisir pou lui faire connaître
le savoir à transmettre
J’ai en fin de parcours plus de jeunesse de découvrir qu’avant d’avoir vu
J’ai le coeur à aimer, en dehors de la peur de mourir
Je n’ai pas besoin d’aide
J’appelle pas au secours
Je vais tout traverser du désir d’aimer dans cet
Absolu Vertical
qui refuse
L’aliénation
La trahison
La compromission
L’imposture
La soumission
En chantant de toutes mes cellules et mes viscères qu’il est bon de vivre
Dans le grand bassin
des
Tuileries
mon bateau à l’ô…
Niala-Loisobleu – 7 Mai 2014
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Et comme si je l’avais su
Mai sans le savoir
cet été là, sortit la bicyclette des poubelles
Rayonnement de l’Amour
cabane aux carreaux du sel
N-L – 23/11/16

L’air
le feu vont
où l’eau les porte
Séparées les mers ont le m’aime sel.
Dis-moi la parole de ton creux, je te chanterai l’aria de l’Homme et de la Femme, ce fruit du Seul Jardin.
Ce baiser qui t’arrive – nos bouches en langue universelle – n’a que mains tenant le premier écho de la pierre. Remuement charnel de nôtre avance posant sa part d’éternité en parole d’humanité.
N-L – Les symptômes de l’Unité – 22/11/16

Merci,tellement en accord avec cette profonde analyse, que de la voir écrite est un bonheur de le lire et la pfaire partager en la rebmogant sur mon site.
Merci à Toi mon Idéelle de l’avoir sortie.
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La fin des clichés … Les stéréotypes peuvent s’avérer dangereux …
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http://www.mercialfred.com/topos/vrais-hommes-inegalites-sexes
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