Débat et des bas…
Un vernis de finition à craqueler qui balade son air fatigué, son odeur de peinture fraîche, m’a fait penser aux arômes de terre retournée qui vaporisent les salades d’un craquant artificiel au banc des supermarchés.
De la chasuble aussi, tâchée de vain de messe, dans le ton de franchise d’un fac-similé de confession. On oublie pas de lire à l’intérieur des yeux, quand on écoute l’interlocuteur. Jocriss jure toujours sur la Bible, ne dire que (sa) vérité. L’humidité plaque ses nitres aux parois dans le secret espoir de gagner les chèvres.
Débat et des bas
la sauce allonge le légume de peint sec…
Cette maison du peuple qui louvoie au long de ses interminables couloirs, digresse, plein de poches sous les yeux, en promettant un changement ressemblant comme dégoûte d’ô au précédent.
Entre un gardien d’hangar à sous-marins de Bordeaux et un pilote à bord du cargo, y a pas photo. Les navires marchands n’ont pas à craindre les mauvais bancs de sable de l’estuaire pour aller commercer au large de la mer morte franchouillarde.
Depuis le temps que les barons s’emplissent les fouilles, faudrait revenir à la cotriade qui partage la pêche entre les marins. En donnant à l’envi, le courage de sortir de la galère.
Niala-Loisobleu – 25 Novembre 2016

Hi hi! Je ne bats pas la campagne mais la photo est excellente 😀
J’aimeJ’aime
A chacun son plat.
Merci Emilie.
J’aimeJ’aime