EMPLOI DU TANT
Entre les presse-livres un petit morceau d’air
sursaute, puis se remonte la mèche
pas vu, pas pris …
Ainsi ce qui ce passe derrière le rideau de faire
va son petit-bonhomme de chemin, s’arrête, repart, jette un oeil
l’autre en marque-page
Le couloir de la porte laissée entrouverte mijote doucement sur le coussin du chat, sans que le laid déborde. Tu peux mailler des caresses intimes de la pelote pendant qu’autour de toi rien ne mouille au dehors. Le taire craquèle.
De la corne insonore fait pencher la plante verte du pied.
Ceci étend le destin en carpette de chaque côté des pages de l’histoire. Le lit s’attache à conserver son ressort pour nous garder en cuillères.
Ta peau ne pèle…j’en vois la vie en ligne.
Niala-Loisobleu – 21 Novembre 2016

tout garde-manger…l’appétit vient aimant…
Merci Ela.
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Les gars tôt secs, arrêtent prématurément de se tremper le biscuit…dommage la vie c’est sans âge autre que celui qu’on en met..
Merci kanckonyva.
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Ta chouette m’est frais quand tu ouvres ta porte. ¸¸.•¨• ☆
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Pourtant t’ulule en ouvrant la tienne, au point que j’as pas peur du tout !
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A quelle page ai-je corné le livre, demande la cuisine, ça brûle en casseroles, faut vite trouver la recette pour en finir..
Merci carnetsparesseux.
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Imagines, j’entre sans clefs par ton oeil, me dit-elle en remontant ses bas. C’est le moment que ses jarretelles choisissent pour me faire un clin des deux siens.
Je me suis assis au bord de son plafond. Les fleurs du papier des murs sentaient la musique de chambre, j’ai inspiré très fort….
Merci Sana’s secrets.
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Entre noue et des cousus germains je demande le pair…poison et caramel.
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