Bien sûr sans tes seins je coulerai, renversé dans la tasse…
Il y avait une foi, une peau de lin que j’ai senti vibrer de sa percussion dans le chemin que ma pensée a offerte à mes doigts, ce matin. Les glaces des portes-fenêtres glissaient sur ta piste. Lumière poussant le gris sur le côté. Au fossé des jours sans.
Les journaux en sont pleins de ces vies débranchées…
Et on est mis dans le journal sans que nôtre non soit cité. Misères du quotidien qui tient l’existence dans son porte-monnaie. Putain de matériel, ça bouffe plus qu’un chancre mou, que des pertes blanches cette salope de vie là.
Pandora tu peux faire sonner tes écailles de cobra, serre-pan assomme-être. Fiel de mort hue, j’ai mon idée d’Absolu. Je la tiens par son os entre mes dents. Je nous soigne la couleur que la réalité a de malade.
Dis-moi sans cette transcendance on éviterait l’ulcère. Cette saloperie du neurone percé de toutes parts.
Ah sans nôtre ras d’ô, on seraient m’aime pas été foutus d’entrer dans nôtre mère pour apprendre à nager. T’es Belle quand tu nages le papillon. Tu décolles. Emoi. Jute ô pise d’un penchant de prunier ne voulant pas d’à jeun.
Bien sûr sans tes seins je coulerai, renversé dans la tasse…
Niala-Loisobleu – 16 Novembre 2016


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