Ce qui point d’un long temps de rien…se veut Tout
Mes doigts sentent l’empreinte génétique
de l’Absolu
racine du cri originel
terre d’ocre sur la pierre
que les bisons posent en bandes dessinées
La paroi devenue symphonique
renvoie ses couleurs acoustiques
Le timbre du silence
tessiture
Nous y sommes
« Diapason »
pourrait devenir le nom de la série qui déjà lance des coups de pieds
Tu l’entends, n’est-ce pas mon Coeur, cogner à ta poitrine ?
Niala-Loisobleu – 22 Octobre 2016

Oh oui, j’entends… et j’aurais bien voulu que mes yeux palpitent aussi de voir in situ ce que la photo laisse entrevoir.
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Pellicule d’une attente
Le négatif pond
L’image nait en 3D
Le tant sculpte la résonance du burin !
Merci infiniment ´vy.
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Un gars l’ô venu du fond des temps Natacha !
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La traversée solitaire en duo…
Merci carnetsparesseux.
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Ce que les yeux veulent saisir, les jambes le halent par le coeur-cabestan…
Merci Boris.
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Lorsque monte une ouverture sur l’emplacement des trous on voit se lancer un pont !
Merci Stéphanie !
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Il ne faut croire qu’à l’amor , c’et le plus sur moyen de rester vivants Célestine !
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mais j’y crois ^^
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Nous ne serons toujours que ce ce que nous désirons naître.
Merci Anne-Ma.
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Tenace l’Amour ! Malgré les mauvais coups qu’on lui assène il est indestructible !
Merci Madame lit.
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Je n’entends rien à la peinture, elle passe par mon mauvais sens….mais si j’ la prend dans la figure, je veux bien faire ta connaissance.
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L’idée de me recevoir comme une claque a de multiples interprétations intéressantes, dont j’écarterai celles qui peuvent avoir un sens coercitif pour ne garder, en un premier temps, que la métaphore d’une énergie qui pose du rose aux joues d’un mât qui lève sa voile pour voir l’horizon passer à la verticale !
Merci Pat.
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Laisser au tant
la nudité
qui le dévêt
le démasque…
merci Mari.
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Ce qu’il faut d’opiniâtreté pour passer les remous d’un voyage d’initiation permanente, notre Queste, mon Idéelle. Eprouvante traversée de ce bois où grouillent monstres de tous déguisements, hurle-vent de toutes musiques décacophoniques, de tous chants de sirènes aux yeux d’appeaux, de sites enchanteurs où rien derrière la façade n’est habitable…
Et passée la tentation, l’aguiche aux battements de cils….d’un coup fait place au Silence.
Celui là-seul qui dit tout de ce qui n’est que Vérité…
Je suis devant l’aura d’un ciel qui perce…
Bon Jour le Souffle !!!
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