AU BORD DE TIGE
C’étaient rien de ce qui fait l’affiche, la réclame, le must, le clou
ô non, ne me dites pas que la couleur prend naissance au terne
je sais la différence entre la vraie fleur sauvage et l’ornement de vase
Aussi allais-je délester d’une présence le plomb d’un corps-mort happant au fond. A se crocheter aux rochers, sol dur où l’encre se casse l’écriture. On met des bourrelets sous le rai des portes comme on garrotte l’air d’un libre-penseur porteur de lumière. J’aime le blanc de sa peau quand il se marie à son âme, pas le tulle d’un cérémonial qui étouffe sa virginité. En partant plus loin de ce qui reste de l’écume j’ai laissé ma pensée dire « t’inquiètes je sais que l’on appuie sur ta tête pour te noyer ». Puis j’ai laissé les Muses se remettre en Mémoire.
Niala-Loisobleu – 20 Octobre 2016

Les fleurs de tous saints crient sans thème à venir…
Merci Boris.
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Les pétales se ramassent à l’appel quand l’ô tonne
Merci Didier.
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A interdire les pelouses la nature se fendille tristement, l’aride menace le pied, hôte saison du brame, pas du brahman fervent marcheur dans les clous…
Merci Célestine.
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vibrante se sève la tige se met au garde à vous !
Merci Les Gourmands disent.
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