La Générale…
Une semaine pour les derniers accords
l’amour te fourmille dans les iambes
les violons touchent à cordes
ce la lalala
Ici et là
Tout proche
de ce prochain acte de foi
qui est comme un naitre à chaque fois
Combien
Je m’y tends
tant temps tant
A battre de vie
Tu entends mon Coeur
en fait nous ne laisserons
de Nous
que ce nous aurons su s’aimer
Je t’enfonce
de tout ce souffle
N-L – 10/10/16


Automne aux beaux ors
J’entre dans ton travail
Merci ma Sally❤️
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Le long cortège d’expositions passées escorte celle à venir.
Merci Ickarus.
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Ton sourire a lui seul est un levé de ris d’ô Barbara, merci.
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Dans le grand théâtre de la vie, le rideau tombe et se lève en permanence. Drames et comédies vont et viennent sans discernement, au moins je sais avec certitude qu’en ce qui touche à la couleur c’est moi qui ai choisi le Bleu !
Merci Fernan.
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Les cimaises savent l’importance du silence, témoins qu’elles sont de tant de bruits à côté, inutiles messages…Avant de se faire la tringle elles aspirent largement l’espace.
Merci ‘vy.
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« Au-delà du réel et au-delà de l’irréel il y a le profond. » dit Roberto Juarroz
Il nous répond également par ce poème :
« Le monde est le second terme
d’une métaphore incomplète,
une comparaison
dont le premier terme s’est perdu.
Où est ce qui était le monde ?
S’est-il enfui de la phrase
Ou l’avons-nous effacé ?
Ou bien la métaphore
a-t-elle toujours été tronquée ? »
Et me revoici qui tourne à nouveau
pour me hisser à la verticale
N-L 6 10/10/16
Merci Mari
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Partir à la chasse à l’haleine tient chaud l’hiver.
Merci Illian.
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Au bout d’une ficelle j’ai l’étoile qui vole Célestine !
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Dans les plinthes, pas un gémissement, les murs ont soit de peinture…
Merci Didier.
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