
Point à la ligne…qui sait ?
Ô ma Vie, je cueille une mèche à ton front
curieusement elle fouille
remue
et retourne ma poitrine
pour trouver ce peu de terre humaine où sont restées les marques des courses animales passées au travers des pierres. Disséminant ici et là, faines, glands. Ô non, n’ayez crainte je ne vous oublie pas mes paumes de peint, tant d’aiguilles en travaux de lisse du métier en ont tapissé l’odyssée.
Sans autre demande qu’un parlé des lèvres
la nuance insère la teinte de la vibration
au blanc no man’s land d’une virginité
poussant la couleur intérieure à se prononcer
Le silence change de portée
nous amenons nos doigts au coeur de l’herbe à tresser des paniers
La gorge en feu le soleil irradie les vases de verts maraîchins
les lentilles gardent au secret
le temps d’un nuage transbordeur
le ballant désordonné de tes seins
mes lèvres métronomes attrapent la cadence
je ratèle ton ventre de mes dents
pour retenir la senteur de ton creux
L’arbre surgit de temps de poussée
mirliton dépliant sa musique
aux extrémités de ses bras
tranquille
insignifiant
telle cette force qu’aucun pouvoir tramé ne saurait avoir en dû.
Témoignages de mon Univers durant 62 Années qui défilent ici, là, là-bas, au-delà du Monde depuis 1954, sans jamais rechercher par les couloirs des lupanars de la société à putasser pour Plaire.
Point à la ligne…qui sait ?
Niala – 1er Octobre 2016

C’est magnifique …..
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Merci MaZabh❤️
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L’horizon se troue…que de pointillés émergent de l’à venir Boris …
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N’avoir pas omis d’être paye des trahisons de toutes les formes du néant Ickarus !
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Au bout tout est en corps début !
Merci Shira !
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L’apporté s’étire en se faufilant entre les jambes du matin. Un chat qui cherche des caresses en ne donnant que son indépendance en échange. Je tiens la main de ce qu’il y a lieue de botter. Les prières du seoir ne se joignent qu’au s’en remettre au hasard. Pas pour moi. Le soleil n’est show qu’en soi. Au bord d’une mare motte, l’herbe penche même dans l’absence de vent. Je suis né pour respirer à la remontée du courant.
Tiens sur des pistes de garennes, l’oeil est de bon Bleu, Célestine.
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Quand me vînt la notion d’aimer, je me rendis conte que ça coule d’encre pour s’attacher…
Merci Sally.
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Merci à toi mon Zoisô.💜
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Merci Sally.
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Merci pour tes promenades Zoryana !
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