La Mémoire des Muses 7
(De Paris à Cognac)
C’est le dernier mets trot…
Sur les étagères du morne étendu, un sentiment de frustration a forcé ma porte.
Pour me squatter 47 ânées
Moi l’ouvert
me suis retrouvé bouclé
interdit de ces jours où vous avez été petits
petits, neufs, fragiles, bruts de sans moule en creuset
Ne pas aller vers reconnaître est d’usage en tyrannie
courage fuyons m’a joué vôtre mater closet
Devant mon regard où vous êtes crus usés de ma vue interne, pas un instant mon sang vous a vidé
Ah tiens bonjour je vous ai reconnu à tout jamais
votre invisibilité quiète mon pouls
je n’ai plus peur
mais je tremblera à fendre les eaux
sur ce quai de Montparnasse
endroit maudit
que je connais si bien
Je vous vois à travers
de ces sentiments qui disait-on
faisaient l’homme qu’avait vu l’ours
A vous marcher à l’amble
au moins le doute est omniprésent caché
rassurant
tout est mis de côté
voici le figuratif-abstrait
beau comme ce qui outre mère indigne
l’élite mise sur le cheval gagnant
M’aime pu besoin de roi des cons pour être bourge-gentilhomme
je suis must
tu es must
ils sont musts
Must à fa
comme disent les quarante-voleurs
dans la caverne des
j’Arrive
dans moins de 24 heurs
Père
Néant-d’air-talé
primate qui vous donna
pas l’aria
mais le choeur avec ses couilles
sera
face à face au présent sorti de ses cendres
C’est le dernier mets trot…
Niala-Loisobleu
16 Octobre 2015
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