Quand ça marche à shooter la gamelle, tu voûtes au diable les appareillages
mal rasé du mental
tu piques des ongles comme un squat de ronces au beau milieu d’un quartier de lune mâle femmée.
Le premier verre qui t’accroche tu le traies d’un coup, sans le moindre regard d’affection pour le pianiste à bretelles, qu’hier encore tu lui disais t’as de beaux nichons dedans ton clavier.
La rue tu la vois plus qu’en deuil, c’est injuste que tout le monde y pleurerait de joie d’y vivre, alors
t’envoies un glaviot bien gras dans la vitrine du marchand de miroirs.
La mer à force de périr des braves, a sait quand se taire en dit plus long qu’un triste cire à nos pompes.
Les grandes douleurs ça donne pas sur la cour, ça prend pied au fond de son jardin. Rien à voir avec les pleureuses et les grands convois mafieux du Parrain.
L’eau qui avait accompagnée la scène en disant rien,
attrape l’image toujours en la fermant, en plein milieu du cadre ambiant.
Les pilotis envoient de toutes les couleurs, le nerf de leurs bois, que ça remonte jusqu’à la forêt d’où provient l’arbre qui les a fait.
C’est sismique, le sensible.
En l’absence de frime faut voir ce que ça remous sans ménages, genre vague de fond remettant en question.
Un courant plus show que le Golf String où t’envoie la balle et le tee en plein milieu du trou
que le manche du drap peau en branle
comme un des seins animé de bonnes intentions.
L’eau, revenons un instant sur nos pas
affiche la silhouette de la cause
en un grand reflet super gonflé par un nuage
Ben, oui, putain qu’elle est belle et qu’est-ce que tu l’aimes la Vie !
Pousses à la baille l’armada de sales cons qui sans rien connaître de ton malheur, était déjà en constitution de groupe de soutien des couilles et autres accidents de la circulation avec le matériel ad hoc pour servir à rien, la grande échelle et les sirènes…
ah oui les sirènes,
enfin ça y est, ça te rappelle
le cinoche à Ulysse, le truc qui de deux fait Troie, genre promesses d’ô land,
et pis et pis
pipi
Tu te la sors et tu te la lâches
pisses lui à l’arrêt et barre
ça repart !
Le chemin on en sait pas la longueur, mais l’a venir on est seul à en choisir la teneur.
Tout peu s’apprendre à condition de savoir discerner
faut aléser l’oreille à la taille des maux
et pas rétrécir l’artère pour en faire une voie détournée de ses responsabilités
Te goures pas Mec
Te goures pas Fillette ….
Sourde…
Muette…
Ce matin au cœur des fous 💕
Je te lis à l’en-vie
Je t’aime à l’en-vers
À l’endroit où mon ❤️ est fou
J’aimeJ’aime
La polka piquée a la machine kikou ! Zizip hourra !
J’aimeJ’aime
Qu’ont-ils faits du bord de mère quand ils ont dits prendre le large alors qu’ils se sont mis dans l’étroit ?
Merci Boris.
J’aimeJ’aime
Ben, oui, putain qu’elle est belle et qu’est-ce que tu l’aimes la Vie !
Ben, oui. ^^
J’aimeAimé par 1 personne
La plus belle salope qui gouine du gond que quand on la verrouille Célestine !!!!
J’aimeJ’aime
Mets donc une virgule entre moi et le mot verrouiller, avant que ça ne me gerce le bulbe. 🙂
On la verrouille pas Célestine !
¸¸.•¨• ☆
J’aimeJ’aime
T’as raison j’aurais du….pour ça il m’a manqué d’avoir l’idée tordue…mais voilà m’aime si ça en nées tonnes je redresse !
J’aimeAimé par 1 personne
Le style, ce ne doit pas être tellement l’homme qu’on l’a dit – car l’on se complaît bien plus à sa personnalité qu’en ce qu’on écrit. On se désespère d’écrire mal, et rien ne concorde entre ce que l’on sent et ce que l’on écrit. On se relit, on retouche ce style répugnant, rien ne vient mieux. Je crois que ce qui est vraiment l’homme c’est le plaisir ou le dégoût qu’il prend à l’effort pour écrire mieux. C’est-à-dire qu’il n’y ait pas plus de vulgarité dans le style que dans la pensée.
Pierre Reverdy, (Le Livre de mon bord, 1930-1936, Mercure de France, 1948)
J’aimeJ’aime
Je me reconnais tellement dans ces mots…
J’aimeJ’aime
Le dos du miroir fait la face à soi.
J’aimeJ’aime
https://www.youtube.com/watch?v=M3n4XjXpKAY
J’aimeJ’aime
J’m’arbre à cane pour m’en fi bi disait l’affiche d’un mariage pour tousse sur la route du rhume…
Merci Elisa.
J’aimeJ’aime
Le crochet en croisant ses fils resserre le chemin sans le raccourcir, dans t’ailes il y a envol.
Merci Lyse.
J’aimeJ’aime
Que j’étire en sommation le loir et chair d’ailes pêche, qu’est-ce qui pourrait m^’en faire reproche ? Le chemin de Compostelle me remue dans les guiboles !
Merci carnetsparesseux.
J’aimeJ’aime