POSE
La dernière vague
n’a pas rentré son instrument
le moulin à marées
écume maille après maille
le foulement des aiguilles
En ombres
le lointain ondule
battant de ses zèles
le quai au grand large
Les formes que les nuages impriment
donnent en vues de do
des contorsions d’accordéon aux bretelles
glissant des yeux
Lourds parfums
laissés aux matins de nuits d’ébats
qu’un livre de chevet
garde sous ses lunettes.
Niala- Loisobleu – 05/09/16

Mouvements imprimés par ses propres vents et les actions des autres.
Merci fredonnezmoi.
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Arrêt sur lit mage…
Merci
desmondag.
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décidément, j’aime beaucoup tes mots qui font images
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J’apprécie ton commentaire comme la teinte qui en s’ajoutant à la ligne, vient lui donner du corps d’harmonie, mouvement orchestral….car les tiens m’enchantent tout pareil !
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C’est le chant des saisons d’amour
D’où que soit la vague
Où que pousse le vent
A l’envers des nuages,
Le ciel bleu des rêves
Continue à imprimer
En corps
Les marées, flux et reflux
Et sur la plage sauvage
L’écume du temps qui reste
Dessine un éphémère
Qui dure…
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Séisme rejeté
douceur de l’étale repoussée
le rivage
ouvre ses cabanes à la plage
pour que le ciel enfile son maillot de bain !
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La mer grande consolatrice…
J’ai dans le nez l’appel du large, embruns et guano
Et cet indescriptible clapotis des coques et des mâts qui tintent
¸¸.•¨• ☆
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A l’anse
les coques lient co
têtes à l’envers
du bon endroit
chantent des drisses
le vent qui passe aux trait mis les parasites
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Le mou d’un ciel caramel a des envies de bulles..merci Boris.
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Chat virant
mauvais temps
les draps ouvrent
leurs bras de mer
Merci Stéphanie.
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