POSE
La dernière vague
n’a pas rentré son instrument
le moulin à marées
écume maille après maille
le foulement des aiguilles
En ombres
le lointain ondule
battant de ses zèles
le quai au grand large
Les formes que les nuages impriment
donnent en vues de do
des contorsions d’accordéon aux bretelles
glissant des yeux
Lourds parfums
laissés aux matins de nuits d’ébats
qu’un livre de chevet
garde sous ses lunettes.
Niala- Loisobleu – 05/09/16

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