La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Du cou d’Elle
l’absence glisse des épaules
Ses seins qui dansent
en longues mèches
rallument les hanches
de la lampe à huile
La nuit perd sa tige
et le brasier plonge dans l’air
d’un saut-de-l’ange
Une pensée tourne la crémone
pour se joindre au m’aime frémissement
C’est la fraîche heur
Merci pour ce partage 🙂
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C’est à moi de dire merci pour ce que ce partage m’apporte.
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😉
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Dans leurs spirales
Les petits carreaux
Jouent à la bataille fatale
D’un retrait d’ô
Merci carnetsparesseux.
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Du cou d’Elle
l’absence glisse des épaules
Ses seins qui dansent
en longues mèches
rallument les hanches
de la lampe à huile
La nuit perd sa tige
et le brasier plonge dans l’air
d’un saut-de-l’ange
Une pensée tourne la crémone
pour se joindre au m’aime frémissement
C’est la fraîche heur
Merci mon Idéelle
N-L – 27/08/16
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