C’est la nuit que la fraîcheur musicale se réveille dans la nature
Avant de remonter dans une branche du sommeil, je décidais d’empreindre la garenne par le couloir des yeuses. Majestueusement dressée dans sa clarté, la voûte étoilée avait remontée l’intensité lumineuse de ces derniers jours d’Août. Les bougies du gâteau d’anniversaire de mon petit copain Théo pensais-je avec un sourire heureux. Les questions que le monde m’emmerde à poser sont faites que pour fermer les yeux sur l’intérêt de ce qui montre tout dans un silence émouvant.
C’est la nuit que la fraîcheur musicale se réveille dans la nature.
Ce jour qui a commencé à s’endormir laisse un bonheur éveillé en moi. Il est de tant de bruits d’eau qu’il demeure bruissant avec les gris-verts-argentés d’oliviers aux troncs tordus par l’opiniâtreté qu’ils ont mis à surmonter la souffrance de vivre. Un combat où la paix ne sort pas vainqueur, juste une défaite pour des circonstances n’ayant que l’esprit de bloquer tout, pour rien.
Dans l’ascenseur nous montons une femme sans âge tenant une petite fille par la main. Je la reconnais, elle habite en-dessous, engoncée dans un col roulé qui l’empêche de franchir les montagnes de sa réserve. L’enfant ne cesse de lever ses grands yeux vers moi. « Tiens-toi tranquille Aurore, ne regarde pas ainsi le monsieur, c’est pas poli ». Elle est lumineuse, son beau visage me parle. Oui, c’est ça, de ce qu’on se dit plus que ses yeux me disent. L’ascenseur s’arrête à leur étage, elles descendent. Je dis « Bonsoir Madame ». Elle tire sa fille sans dire un mot. Avant que les portes se referment, je vois l’enfant dans le couloir me faire des grands signes avec la main. Ma gueule qu’est-ce qu’elle a ma gueule ? En entrant dans mon appartement, je pose les clefs et redescends à pied me coucher sur un ban.
Je n’ai voyagé qu’en humanité, tout collé contre toi mon Coeur.
Niala-Loisobleu – 24 Août 2016

Longeant le bord sur les deux rives, une vague idée n’écluse rien qui pourrait faire monter l’éclaircissement des sombres pensées.
Merci
Shira.
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C’est superbe !
La sphère de la morale s’est étendue sur le monde véritable et ses secrets dont nous ne savons rien et devinons tout
Levons la couverture !
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Sous couvert’hure de grimaces le gala fait bombance. La foire à la faire aïe est ouverte. Je glisse ma fourchette à poids son dans l’entrecuisse de la morale pour que frétille l’Ah levain !
Merci Margot.
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Humain, humus, humide, humilité, humanité…mmmmmh !
Dormir dans les étoiles sur un banc de rosée.
¸¸.•¨• ☆
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La grande ourse dans un monte-charges c’est le taquet qui bloque les roues du chariot. Heureusement dans ma poche-révolver j’ai les yeux de l’amadou qui grimpent au réverbère mieux que la grenouille qui n’a qu’un bocal en ô vers. Pôvre de noue coulissant. Au faîte d’une burqa qui s’tend à tâtons au top laisse. Tu sais Célestine mon ban est plus moelleux qu’un os de sèche pendu dans une cage en hors.
Comme j’t’embrasse au couloir, la pisse-vinaigre s’est endolorie sur la peau de sa banane, car glisse-glisse lui a offert et monté le balai pour s’entraîner à la traversée du manche….
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Et gare à les suites qui glacent en condui😵
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