Lune dans l’Autre
Dans ce rien bougeant en corps, la lune garde sa langue collée aux étoiles. Du garage où le moteur s’est éteint, l’odeur de cuir chaud reste aux sièges de la dernière randonnée.
Tout dans cette alternance a séparé la matière de l’esprit, abordant l’orée du nirvana.
L’immobilité que les vagues horlogent au balancier de la franc-comtoise océanique fait vivre un mouvement autre.
Les aquifoliacées du chemin se sont limées les ongles , tant en houx allons-nous qu’en que qui sommes n’houx . Crécelle abusive du veilleur de nuisances. qui s’imagine qu’avec du ruban autour on rend la vacherie comestible.
Des minutes contées je n’ai entendu qu’agréments des bretelles des dentelles et soies élastiques shorty respirer le large au grand air de la nature hôtelière.
D’iode toute humide ton pore me garde à son flanc incliné
les grands oiseaux blancs veillent au calme des herbes
pendant que l’oeil du phare fait manège aux hippocampes
Quand l’herminette déshabille le bois, tu me dis que tu sens mes mains te mettre au chenal chaque vertèbre de ta charpente maritime, pour que nous nous ah marions l’un dans l’autre sans les bossoirs !
Niala-Loisoblu – 06/08/16


Quand faute de merle la grive vient siffler un vert que le soleil a fait mûrir, il faut s’accorder pour l’accompagner !
Merci Sally !
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A l’intérieur du courant mille et une nuits déroulent leurs tapis volants. D’ambre le cétacé met un terme au désespoir.
Merci Didier.
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Dans l’errance collective, l’individu à son Autre, saura-t-il marcher seul à sa rencontre ?
Merci patchcath.
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Quand dans ses draps
d’ô d’heur d’Elle
aile me serre
je vais à travers seins
au centre de ses rives !
Merci
Vertige de l’Oiseau
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Je vois sans besoin qu’elle me montre
j’aime trop la lire avec les doigts.
Merci
hortenseremington
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