Pause
Tiens la pie
s’est pris le ciel pour chaise
Dans le blanc accrochant du gris au dossier
d’un ciel immobile
qui s’étire
Les feuilles ô live tiennent le soleil aux fraîcheurs de l’ombre porteuse
Derrière le bout des clôtures le bruit s’est évanoui . Frissons d’un bon jour
La marche se rechausse d’un pas vif
Souffle le brail des doigts pressés au sein des aréoles. Laisse partir la douleur de ta respiration, l’éclosion de la fleur rosit la blancheur de tes lèvres
J’ai rêvé que je t’écopais les poumons pendant le retour à la maison.
N-L – 28/07/16

D’un air à la mode de Caen y a pu d’tripes, le ciel se grise. Merde le soleil serait-il de connivence avec erre France ?
C’est trop vache pour les trains de plaisir de ce jour !
Je t’embrasse Célestine.
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Je t’envoie un e-miel de soleil tout empaqueté de thym et de farigoule.
¸¸.•¨• ☆
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À nos garennes en garrigues au poil sauvage ❤️🍷🍷❤️
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En me demandant le moins possible j’eus plus de ce rien qui fait tout!
Merci Pachcath !
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C’est en se respirant le pare-chocs à vent qu’il éternua de l’arrière…ah la rue meurt !
Merci Madame lit.
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Se fondre au milieu solitaire un œil dans la vue sur les autres, c’est entendre la vie battre.
Merci Fernan.
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Vais devoir faire la pause pour interruption connexion internet….Merci Sally.
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