Pause
Tiens la pie
s’est pris le ciel pour chaise
Dans le blanc accrochant du gris au dossier
d’un ciel immobile
qui s’étire
Les feuilles ô live tiennent le soleil aux fraîcheurs de l’ombre porteuse
Derrière le bout des clôtures le bruit s’est évanoui . Frissons d’un bon jour
La marche se rechausse d’un pas vif
Souffle le brail des doigts pressés au sein des aréoles. Laisse partir la douleur de ta respiration, l’éclosion de la fleur rosit la blancheur de tes lèvres
J’ai rêvé que je t’écopais les poumons pendant le retour à la maison.
N-L – 28/07/16

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