FOLLE HERBE
Ma voix n’était plus penchée qu’à sa parole prise je ne sais où
Quelque part
Entre deux
C’est toujours le même chemin qu’on aurait pas dû prendre dans lequel on s’avance
Mais rien d’une odeur n’ayant pas son grain de peau ne se tenait au pore d’une branche morte
Les fleurs bleues me poussent au taire fertile
N-L – 25/06/16

Une île sans il
Rivage perdu
D’un océan sauvage
Une île sans il
Fil ténu
Avant le naufrage
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Il n’était une fois
que vendre dit
crue Zoé.
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Rives lointaines que chaque marée renouvelle d’approche. Du matin où s’ôter l’immobile.
Merci Madame lit.
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Ils sont bien cachés les petits chemins que la pensée porte en secret.
Merci Didier.
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Sur l’eau les lentilles étaient d’un vert si grossissant que j’en VIE le lotus prendre position.
Merci Anne.
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Ne serait-ce qu’en l’absence de tout poteau indicateur aucun parieur n’osa jouer une réponse. C’est bon de respirer dans la confiance !
Merci leventquisouffle !
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La folle herbe qui mousse sur votre poitrine ? 😉
¸¸.•¨• ☆
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Oui qui mousse à ions en fusion au noyau jusqu’à ce la Mie râle Célestine !
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Dans une rue de Ménilmuche, reste un coin de campagne à Paris où le pavé fait place aux folles herbes !
Merci beatricelise.
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Derrière son ombre un éclair passe devant mes yeux.
Merci Boris.
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Têtue comme un marre tôt la pluie s’entête à privé hier le gazon anglais…idiotie… Je demeure au coeur de la folle herbe.
Merci beatricelise.
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