J’Passe pour une Caravane
Comme le boyau d’un test 1 qui n’en finit pas de poser la question qui tue, tu m’fais voir l’couloir de l’amor. Aujourd’hui on solde. Les zamours en carton pâte viennent faire la rosace à la corps niche. Ouah gare au vide t’es précipice. T’as vu comme c’est, un ange qui passe – que sa vacherie à lui – sous silence. A la courte paille y a des oeil qui poutrent un max. Marre de passer pour une caravane qui transporte rien pour soie. Tout pour tousse mon P’tit-Gars et mouche-toi dans mes en vie quand je r’fais surface. Un honneur que t’offre mon coeur à trinquer pour finir la bouteille un seoir où j’suis en manque…
Je passe pour une caravane
Pour un chien qui n’en démord pas
Le labyrinthe
Conduit l’homme mobile
A des étreintes
Loin du réconfort
Je passe de sas en sas
Et mes visites s’espacent
Des ombres s’échinent
A me chercher des noises
Le plus clair de mon temps
Dans ma chambre noire
De l’étuve au blizzard
Des coups de latte
Un baiser
Des coups de latte
Un baiser
Des coups de latte
Un baiser
Je passe sous silence mes avatars
Je passe sur tes frasques
M’obnubiler ? Pourquoi ?
Pour un vasistas
Loin du réconfort
Je passe de sas en sas
Et mes visites s’espacent
Mes élans me courent et m’entraînent
Vers d’autres riveraines
Vers la grande inconnue
Loin du réconfort
Je passe de sas en sas
Et tes visites s’espacent
Des ombres s’échinent
A me chercher des noises
Le plus clair de mon temps
Dans ma chambre noire
De l’étuve au blizzard
Des coups de latte
Un baiser
Des coups de latte
Un baiser
Alain Bashung
Comme La chanson de Prévert j’ai plus souffert la chute des feuilles aux branches que je croyais vertes. Des fois, la pire c’est la mauvaise comme dit Ictère. Un homme ça pleure aussi. Elle est trop belle la vie pour ne l’ouvrir qu’à ce qui l’enlaidit. J’ai pas fini, le bout du chemin s’éloigne, j’choisis d’être encor sur la ligne de départ et pas celui de la mort. Un baiser. Debout la mer monte, j’embarque à d’air, l’amer épave au cimetière marre hein. J’passe pour une caravane et j’abois.
Niala-Loisobleu – 16/06/16


Au bas de la résille froufroute un mât de long, la cantine hier souleva son jupon pour dire c’est Bon Jourd’hui qu’il faut servir à voir beatricelise !
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M’sieur l’oiseau,
Vous avez du chien
Et c’est ce que j’aime
Ce cri d’en vie
Qui vous porte vers l’horizon ❤️
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Pleine gueule, je mors la vie de dents !
Merci Natascha.
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Les soies étirent leurs chatoiements par les fenêtres du téléviseur. Pub besoin de chercher à comprendre, l’ignorance est à son comble.
Merci Elisa.
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… C’est toujours un plaisir de retrouver Bashung …entendre la voix de cet ami qui nous manque depuis son départ. Merci et bon week-end 🙂
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Il reste toujours la voix quand elle était bien plus que souffle. Bon week-end à toi aussi et merci
Vertige de l’Oiseau
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Le sens du touché tu le possèdes autrement Barbara. Nos jours s’en sont avancés plus près sans que le chameau déblatère et crache en manifestation de désapprobation. La caravane disparaît dans la condensation de l’ondulation des dunes.Un enfant fou disait ma Gosse aux torsions d’un instrument à vent qui part au quart de tour des ses boutons de nacre.
Merci Barbara.
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