FRISSONS SALANTS
L’air encore seul sur le sable
les paroles restent avenir
Immobile en corps
mon regard se fait genre du voyage
libre détaché du bout des yeux
tournés de l’autre côté de l’impossible accord de l’incompréhension
Querelles par transmissions de courroies décrantées
abandonnées aux mouvements pendulaires grippés
Les odeurs foraines des baraques à frites garderont leurs cernes
pas de bonneteau pour désigner la bonne timbale
jeux d’hasard mon vieux Balthazar c’est qu’appentis sorcier pour abri
La chaume du marais ne tend point l’appeau
d’un piège à ours dans ses roses eaux
Juste le frisson d’un vent qui murmure les plis de l’onde
laisse à l’innocence son naturel défait de culpabilité
sans avoir à rougir d’aimer.
Niala-Loisobleu – 29 Mat 2016

Pas la pluie en corps mais l’ô plein.
Merci Didier.
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Aux lèvres des pierres qui ne seront jamais murs Sally.
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Au sable que rien ne gratte l’écume ouate. C’est dimanche pour les Vendredis, « vy
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Le vent s’enhardissant te prend par la culotte
ne reste plus de traces des basses-côtes
bien au large par l’aise aile
tes seins sortent de l’amer
les poids sont volants !
Merci beatricelise.
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Très beau tableau qui plus est !
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Mettre un Miro devant un tant bouché, c’est une mesure de sauvegarde Francis.
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Miro met Nil ?
Non Miro beau l’an !!!!!
Merci Elisa.
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