C’était à vent…qu’à flelou, Renaud, arrêtant de boire s’mette au flic pour faire du patin…
Egon Schiele, L’étreinte, 1917, huile sur toile, 98 x 169 cm, Belvedere, Vienne, Autriche
Et elle lui disait (…)
Serre-moi dans tes bras
Embrasse-moi
Embrasse-moi longtemps Embrasse-moi
Plus tard il sera trop tard
Notre vie c’est maintenant (…)
On gèle on étouffe
On n’a pas d’air
Si tu cessais de m’embrasser
Il me semble que j’mourais étoufféeand she said to him (…)
Hold me in your arms
Kiss me
Kiss me for a long time
Kiss me
It will be too late
Our life is now (…)
We are choked frozen
There is no air
If you ceased to kiss me
I think I would die choked
Jacques Prévert, « Embrasse-moi » dans Histoires, 1948
C’était dans un quartier de la ville lumière
Où il fait toujours noir où il n’y a jamais d’air
Et l’hiver comme l’été là c’est toujours l’hiver
Elle était dans l’escalier
Lui à côté d’elle…
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Beau boulot… et puis Egon c’est un excellent choix por l’image…
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Tout à fait…Egon tant qu’on y est on a pas en vie d’en sortir. L’amour prend sa couleur jusqu’au plafond sans la moindre intention de record. L’exploit est hors concours.
Merci Henri Etienne.
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Loin des dégâts câlins terraux auxquels la vie voudrait qu’on se fasse, Schiele déchire pour mieux se coudre à l’Autre !
J’aime intensément !!!!
Merci Elisa.
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Mon père Prévert à lui tout seul il m’a plus appris de la vie que des chargés de le faire…et il était pas payé pour le faire.
Merci Madame lit.
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Du baiser d’avant guère…hum quel bon goût Emilie !
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Un rouge-baiser qui en appelle aux lèvres sans rien farder de l’étreinte !
Merci Francis.
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