Rien du mal que j’ai de mes yeux qui pleurent
Aujourd’hui le temps pâle des teints
en appelle au grattage des lèpres
Le sélénium en léchant les murs
soufre l’allumette d’une déviance congénitale
chèvrant tristement ce gain nés des premiers labours
A casser le do
la clef de sol
diffuse le genre aride
machiavélique stratégie
d’où je tire le cri qui arrache la chienlit
hors de portée du jardin de mon coeur
Le reste fertile de ton derme que mes paumes cueillent
s’aime
ce que le vent trieur n’a pas déballé sur l’étal bonimenteur
L’apparence monstrueuse tente l’épouvantail
létal
aux oiseaux
Je demeure à la grotte
à écouter l’enseignement de ta trace rupestre
pour casser les ô parleurs des spots publicitaires naufrageurs
Rien du mal que j’ai de mes yeux qui pleurent
n’ayant le pouvoir de dévorer mon amour dans les lises
d’un anniversaire muet qui s’annonce
ne voulant sang tire
du bouton
que l’iris sauvage de ton marais-cage !
Niala-Loisobleu – 25/05/16

Paravent qui fait fenêtre, trompe l’oeil des campagnes verdoyantes, ouvrez grand !
Merci Didier.
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On sait, sans les voir toujours, la présence d’enfants au milieu d’une plaine aride. La mare que rite, ne veut pas du diable pour pétaler dans la côte…
Merci Francis.
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Aux paresseuses inclinaisons
Verticale hissée
Ma pensée s’oppose !
Merci Madame lit.
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Retenu aux palisses la dune demeure tournée sur l’horizon, laissant l’amer échouer sa denière vague.
Merci Une femme
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Passant devant la montre arrêtée au bord des mouches
la flamme de mon coeur remit la lumièe à la chandelle
Sur le fond de Seine le ris d’ô releva sa jupe
pour que les cuisses des bateaux se meuvent de l’aube
Ils étaient quelques uns restés collés au regard d’un carreau cassé- zut- leur dis-je
l’oiseau roule comme un élan décorné déployé tarmac
Comme Nous
rien qu’irons sans mal
yeux pleins des larmes du bon heur !
Merci mon Ideelle de mis le baiser !
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Il y a une foi, ils eurent bien d’enfants et furent heureux sans conter !
Merci Pupazzovi
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Toi tu sais comme de l’encre on peut se détacher et se faire partir…c’est ça vivre !
Merci Elisa.
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J’aime mes dons d’un quand ils font et nous et nous !
Merci
On met les voiles
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