Gelem, Gelem…Je l’Aime, Je l’Aime !


Gelem, Gelem…Je l’Aime, Je l’Aime !

 

Des nues âge

que la poussière

retombe

sur les roues

voici venir le tant des pans

L’orgueil inconvenant d’une ingratitude de bon aloi faut que ça purule un jour à venir, comment sinon qu’on aurait pu faire des gens de rien pour sauver un monde de gaspillage de son sac en plastique indestructible ? Les maux des mais si, mais si faut les passer au tri.

On aime que rien d’autre que son égo noir de trouille en brandissant la bannière en procession du TOUT POUR UN.

Je trépasserai et j’aboirai mon mets pris jusqu’à l’hallali chante la voie de la conscience en surligné sur les gémissements et autres lamentations d’un mal être chronique, en jetant ses confettis et serpents teints à la poignée d’un mal à rab.

Où mes chevaux hennissent la fleur de nos chemises fait prairie

J’ai jamais dit je t’aime comme un jeu à la roulette

Les dents noires de mes enfants carrient boue la corne de vos plantes

D’un bleu que vous n’avez pu imaginé dans vos trips

Quand je t’ai ouvert ma cabane

Toi

qui pleure un désamour qu’on te donne

c’était le feu vif de la yourte

sans dérivés pétroliers

que tout entier t’avais

Faux pas à présent

sortir une guitare quand on chante playback

Gelem

je l’aime la vie

j’peins que soleil depuis le début jusqu’à le bout de mon chemin !

 

Niala-Loisobleu – 13/04/16

 

 

 

 

8 réflexions sur “Gelem, Gelem…Je l’Aime, Je l’Aime !

  1. Oui Gelem, je l’aime au point de crois pas monté en croix, je l’aime pour débarrasser l’apporte du judas, grande ouverte sur ses lèvres !

    Merci mon Ideelle !

    J’aime

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