Les je sont faits
J’en allais
du bruit et des odeurs foraines de fin de marché
Remballe
les caniveaux restent seuls avec leurs têtes de poissons
Les paniers où les dames font provisions
fantasment du banc de légumes
au fruit défendu
tenant l’aqueux par la branche
de l’Arbre de Vie
Un camelot sans armure ni destrier
tournoie sa langue cette fois avec sa table-ronde
loterie à faire planer le plomb l’instant d’un tour
faites vos je
rin ne va plus
En rentrant des courses cette femme aux yeux cernés
ne trouve pas la main qui l’empêche de bien dormir
Ses seins lourds tombent à plat de son désir
ses pores sont ensablés
Mais est-ce la faute à qui ?
On en cause d’abord
on demande à voir
et on se pose
en plein centre de la question
Niala-Loisobleu – 02/04/16

Un terrain vague s’est installé à la place du caravansérail, la foire est finie, l’ô tel d’étroits cas narre la triste histoire de la femme sans ménagement mâle baisée..un film déplorable, mais qui marche dans les sales…
Merci carnetsparesseux
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A Virginie que c’est dur de faire son marché par ce tant de crise …
Merci
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Quelques restes accrochés aux eaux charrient le souvenir de chaudes fragrances parmi les fleurs fanées . Sous venir se tient Tapie l’attente…
Merci Francis.
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Whaouh! L’illustration est en plus magnifique!
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Chouette alors Emilie, ça baigne !
Merci.
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