Tu te souviens de ce jour là…
Dans tes mots où j’avais pas mis de doute
aux poubelles
tout ce qui me diminuait de Toi
m’a sauté à la gueule de mon âge
La distance de nos manières
la couleur de nos parcours
ont grandi comme ce qu’on change des malheurs de la vie
faisant d’une grosse moche l’herbe fine
où je me couche à vélo dès l’orée de mon bois
sans que la montée des zoos m’écarte du sauvage
qui garde ses griffes aux ongles de ses dires
cru comme un liber teint
avec du poêle autour qui carbure à la pudeur
J’ai l’amour au-dessus de la ceinture d’une Fanette au creux de la vague
Mais parlons d’autre chose…
Niala-Loisobleu – 25/03/16
Le contradictoire s’aime plus à foison que le béniouiisme stérile..merci carnetsparesseux
J’aimeAimé par 1 personne
Tant d’artifices et au bout que reste-t-il ? M’aime plus le chant d’ailes…
Merci Madame lit.
J’aimeAimé par 1 personne
Je l’aime beaucoup cette chanson du grand Jacques malgré (ou peut-être à cause de) son côté dramatique.
J’aimeAimé par 1 personne
Malgré c’est sûr que peu t’être appelle à grand élan, voilà ‘vy un poing comme en c’est tout l’émotion dans l’estomac…..merci
J’aimeAimé par 1 personne
Ce qu’il a de don de vrais larmes qu’on pleure dans l’ignorance de l’existence du kleenex…sans mots des rations…
Merci béatricelise
J’aimeJ’aime
Texte coup de poing, montée des larmes, qu’on ne sent pas, qu’on n’essuie pas… Merci 🙂
J’aimeAimé par 1 personne
Certaines rues mènent au travers des murs, celle-ci en est Elisa.
J’aimeJ’aime