Bordel un peu de patience on travaille sur la décadence !


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Bordel un peu de patience on travaille sur la décadence !

 

Où t’es-t’y-tu encore barré Noé ?

On grève au bord du plein dedans du rien

Au point que ça prend au lycéen

se disant chouette un nouveau jeu :  on va niquer la mer

La table s’allonge

non tu voulais dire ça longe

longe attitude le discours, wouais c’est ce ça que j’voulais

c’est rap

un peu d’odeur de pied

beaucoup des selles

à vue d’né on a dépassé les 35 heurts

Pourtant ils avaient garanti  la fraîcheur

tu veux dire le froid

longe attitude le discours, wouais c’est ce ça que j’voulais

hier le coût de la bonne femme

là été pas à la fête de la parité

merde déjà qu’on les engrosse des mômes, des courses, de la cuisine et c’est pas souvent bon, de la vaisselle, du ménage, du ramassage scolaire, du suivi du devoir des animations du mercredi, d’un boulot égal moins payé, et ragnagna, ragnagna,

elles vont pas nous faire le caprice de revouloir un serpent à la maison, on leur a remis Ségolène nue clef air, si ça c’est pas le Jardin des dés lisses, demande à François de t’expliquer la règle du jeu de pommes !

Et le mariage pour tous

si avec, on baigne pas dans l’amour…

Bordel un peu de patience on travaille sur la décadence !

Niala-Loisobleu

9 Février 2016

Jaroslaw_Kukowski_05

14 réflexions sur “Bordel un peu de patience on travaille sur la décadence !

  1. Ah caisse qui tombe, quand j’étais gamin Bercy c’était le garage des péniches de pinard, aujourd’hui c’est le port du vain….

    Merci Francis.

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    • Un enclos à farfadets paroissiaux, trois bombardes, deux binious, la Jeanne refoutue dans les zoos, une noce huaire (ce mot là n’est pas académique, mais je l’ai tiré d’une réforme de l’orthographe en cours d’édition) un grand pardon, les étendards rentrés de pro session et sur les monts d’arrêts Merlin qui brosse Eliande sur la table ronde d’une bacchanale du tonnerre de Brest, que la famille tuyau de poêle des politricards s’emmanche que ça devient glissant du tertre !!!!
      Aïe Marie si tu savais !

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        • Gudule

          Importante créalule
          Dont le sourcil noir pullule
          Jusqu’au bout des tentacules.

          Non c’est non quand tu stipules
          Au lieu du piot. la frangule :
          Oui. c’est oui quand tu strangules
          Sans me dorer la pilule.

          Tu bouscules, tu circules.
          O ma lune majuscule.
          Tu m’écules. tu m’annules
          Je ne suis que ta lunule.

          Aspiré par tes glandules.
          Ma reine à douze valvules.
          Tout mon plexus capitule
          Sous tes muqueuses férules.

          Adieu, forte canicule.
          Je fonds, je suis ton
          Jujules,
          Ton expirante virgule
          Ton
          Jujule et ton
          Nunule.

          Je suis… je fus, ô
          Gudule.
          Tu me jugules.
          -Pense à moi dans tes crépuscules.

          Georges Mogin

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  2. La honte qui nous préside n’en aura, comme dab, rien entendu, il est à craindre que le rempart juridique dans lequel il se replie nous réserve de bien désagréables surprises.

    Merci Sally.

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