L’enfant-monstre de l’humain


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L’enfant-monstre de l’humain

Il a vidé le cartable de la bêtise

d’une géographie mobile à hisser des frontières

avec un mal en trompe-l’oeil raciste

des portes-fenêtres à plaies purulentes sociales

des calculs régnaux de mégalomanes pisse-vinaigre

pythons hissent pavillon en berne

sales sorcières de sale aime

Il en a plein le point du verbe aimer saccagé

l’enfant tout fripé de sénilité parentale

Dans son bocal

petite-grenouille

à prédire le tempo décadence

L’enfant qu’est-ce qui voudrait

être celui d’une famille d’amour

pas d’un mini stère

contre-feu

d’un roi-faits-néant

à l’égocentrisme démesuré

néroniste en puissance

qui fout le feu à son espérance

L’enfant ne veut pas être le monstre de l’humain

il a pas de gène pour pourrir dans la fosse à pu rin des immatures

L’enfant il veut vivre  fils du futur homme

Niala-Loisobleu

6 Février 2016

43f

7 réflexions sur “L’enfant-monstre de l’humain

  1. L’enfant-monstre
    se prend les tempes
    moderne
    il étau
    il vice
    il serf

    Rien ne sort
    d’autre
    qu’un blocage
    de rouille…
    N-L

    Merci Francis.

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  2. Sur un bout d’état gère, le corps-nichon n’est plus tétique, il est synthétique. As-t-on jamais élevé au rang d’homme un lardon avec un morceau de caoutchouc ?
    Marre des mères-gonflables et des gods-monsieur, on reveut de la tripe !

    Ah Marie si tu …

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  3. Grand plaisir grand merci
    Merci mille fois merci. À bientôt
    Mais non
    Mais si
    Ce n’est rien je vous en prie.

    À
    Dimanche à
    Lundi

    À
    Mardi à
    Mercredi

    C’est cela : plutôt
    Vendredi

    Le matin, je veux dire à midi

    Dès l’aurore avant la nuit.

    Sans façon c’est par ici
    Trop aimable.
    Bonne nuit.

    Jean Tardieu (Enfance)

    Merci
    nuit bonne
    ‘vy

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  4. Mais ce monde accouche-t-il en corps vraiment d’enfants ? De l’accouplement de Barbie avec des Hommes-Araignée des monstres virtuels robotisés sont mis en couches, confirmant que la décadence est consommée…

    Merci Marguerite.

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