Roue de la forte hune


Roue de la forte hune
Le regard unique en son genre
de toutes choses
pose sur les pierres l’outil à graver la mémoire des pas
Barbelés et miradors aux cintres de la tragédie sous la cloche d’un glas de saloperies
qu’une main tient par la ficelle du gare au
Deux seins
plusieurs fossettes
une longue mèche
la perspective d’un espoir hors d’eau
autant de vertèbres qu’un manège de chevaux de bois
un sourire de nouveau nez et son coulis de babillements
le kama-sutra augmenté avant chaque faim de moi
des luths gréco-romains, des box taille, des zoos parturientes, des ailés copte-taire. un pape franc soit par exception à la règle, de la craie pour tracer un ciel honnête sur le plan des marelles, des pierres à cathédrales, une nuit avec Toi mon Amour avant pendant et après le levé du soleil.
Le tout dans la corbeille de fruits du verger
Et ta croupe pour que je préserve les steppes des chevaux de Troyes
Niala-Loisobleu
1er Mars 2016

5 réflexions sur “Roue de la forte hune

  1. Un dogme est l’oiseleur guettant dans la forêt, Qui, parce qu’il a pris un passereau, croirait Avoir tous les oiseaux du ciel bleu dans sa cage.

    La fin de satan
    Victor Hugo

    Je hais les cages….merci Martine

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  2. Les chevaux de Troyes ma spécialité, ne suis-je pas dépendeur d’andouille ? Fier de l’être. Dans un monde devenu complètement virtuel ça fait un tantinet Chevalier Bayard qu’a pas peur du virus !

    Bonne journée et merci ‘vy.

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