Quel bon jour, bonne nuit !
Marcher comme ça, oh sans que le tout autour se prenne pour le papier-peint de la mode à suivre, le décor auquel le regard doit se satisfaire. Marcher juste comme ça sur la pelouse sans intention de nuire à l’ordre, juste libre de sourire sans demander, sans se cacher, sans se retenir.
Avoir le respect de se faire simplement l’amour à sa vie.
J’me sens saxophone, genre petite fleur soprano. Pétale-moi dans le sens que tu voudras, chaque instant de tes frissons c’est un départ qui frémit. Les églises contiennent des chants que les bancs retiennent en rang. Jouons à saute-mouton liés l’un dans l’autre. Le prêche peut monter en chaire, si on se prie des yeux rien qu’au fil du courant, on se retrouvera train de bois à ramasser tous les arbres du chemin. Un arbre de vie qui a naturellement besoin de se lier à la terre, au ciel en mettant sur le cintre de ses branches le vent et la pluie, à l’invite, des nids chambres d’hôtes pour les plumes à peindre, est vue sur l’ô séant.
J’te couche dans le rêve qui cargue ses voiles. Embarque.
Bonne nuit mon Coeur !
Niala-Loisobleu
29 Février 2016

Dans le bleu,
Sous les étoiles de cette nuit…
Le vent s’est engouffré
Sous ma robe
Enchaînée
Maillon millénaire
Mon cœur était là, sans être las!
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Gentil l’auteur aérien, ce qu’il souffle se joue des inquisiteurs.
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Une nuit comme un enfant qui a laissé son corps reposer pour que son âme aille courir aux marelles.
Merci Jérôme.
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J’aime ces sentes à peine dessinées par les passages animaliers. Rien de leurs arômes intime n’a été fauché des herbes…
Merci Marie.
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Merci Elisa.
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