Il peut pleuvoir mon Toi n’a pas les tuiles peureuses
Il ne cillait de rien
pour échapper au vide
en ramonant les sauf-conduits
pas comme ça voyeur tombé d’un flacon de neige
Niala
est depuis toujours
assis les pieds dans le caniveau
de l’embranchement de l’arbre-rue
où le vitrier mit des carreaux à son premier tablier
Il froisse à lui torturer les plis
la mousse du bas-ventre de l’encrier
via la voie de ses seins aéronefs
les ailes
aérogare d’un passe pores à marées
Île est’Elle
L’accent flexible du murmure des charpentes
à la verticale d’un quartier peu importe de quelle lune
l’Autre n’étant nullement indéfini
ça mord
Vénérabl’Amants
que sait déjà
un en plus
de ne pas sauter d’un doute
en s’ôtant les pages de l’ignorance
Niala-Loisoleu
29 Février 2016

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Tout en ronds d’heurs, la spontanéité de sa poitrine au moment où le bouton s’ouvre m’interdit tout calcul mental, ouah l’amour ça marche pas avec le cerveau quelque soit le volume du popotin Marie !!!!
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Peindre en dépeindant le mot qui va prendre la route, avide de sortir de la palette après s’être roulé dans la pâte pour en coller partout entre c’est charnel. Faut que mes doigts touchent, qu’il triturent, lissent, arrachent, griffent et mordent en douceur, pour pénétrer loin très très plus loin possible à lier. Tu sais mon Ideelle pareil que quand l’aile émoi j’en saigne !!!!!!!!!!!!!!!!
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Quand l’odeur devance l’ouverture du tube c’est que les doigts sont dans le pigment de l’inspiration.
Merci stéphaniehuguenot
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Les mains émerveillent, en tirant l’aiguille elles tissent à faire régner le silence dans le bruit des râles.
Merci ‘vy
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Quand ouvrant l’oeil les poutres en hé selle chassèrent les mouches, le coche marqua je t’aime dans la bonne case !
Bon Jour Sally je t’embrasse avec de la lumière à lui mettre…
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