Mon parapluie, la grisaille et Toi mon Soleil


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Mon parapluie, la grisaille et Toi mon Soleil

Appuyé d’un coude
au bas de la porte
il garde le soleil
Alain t’es rieur

Mon parapluie
couché
en chien de fusil
prêt à tirer sur le gris

Sur la toile
les baleines
ont rejoint les jardins
de mon Amour !

Ce matin j’ai parlé de mon père à ‘vy. Une autre histoire d’eau, velin, 100% cellulose, pur extrait des sens exotiques de bois flotté. Tu vois mon Coeur que rien ne meurt qu’en plutôt, que vouloir faire d’ici un matin-truc n’ayant plus rien d’uni vers, on reste dans l’arbre en se foutant pas du l’hier qui nous a enfermés dedans. Des secousses pendulaires tagada tsoin tsoin c’est loin de Pi et de l’odyssée. Entends-tu le tigre ? Voici que la couleur doucement remonte à la nage des brumes que les marées se servent pour certains estrans. Je peins pas mon Coeur, je te cause mots d’amour en te mettant le prochain en chemin.

 

Niala-Loisobleu

24 Février 2016

 

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(En photo : Etudes en cours pour le 7° Aux Jardins de mon Amour)

15 réflexions sur “Mon parapluie, la grisaille et Toi mon Soleil

    • Le trait, c’est . d’abord ce regard qui refuse la règle. Il a sa main le trait et les doigts de l’Autre pour tracer. Alors peu importe qu’il ondule ou aille droit le trait. Il sait que pour tenter d’être beau il lui faut éviter tout raccourci. Le chemin n’est qu’étages.Il se doit d’être entier.

      Merci ‘vy

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  1. Entre le texte du tableau et les mots-peints l’alpha–bête tire comme un boeuf le trait du néant. Sur les espaliers les rizières en rigolent, les histoires d’eau c’est leur affaire !

    Merci Madame lit.

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  2. La mutations des formes suit le flux et le reflux, l’inspiration ne lâche rien de la randonnée, monte la hauteur d’ô, du bleu les ocres prennent feu !

    Merci laboucheaoreille

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