
Mon parapluie, la grisaille et Toi mon Soleil
Appuyé d’un coude
au bas de la porte
il garde le soleil
Alain t’es rieur
Mon parapluie
couché
en chien de fusil
prêt à tirer sur le gris
Sur la toile
les baleines
ont rejoint les jardins
de mon Amour !
Ce matin j’ai parlé de mon père à ‘vy. Une autre histoire d’eau, velin, 100% cellulose, pur extrait des sens exotiques de bois flotté. Tu vois mon Coeur que rien ne meurt qu’en plutôt, que vouloir faire d’ici un matin-truc n’ayant plus rien d’uni vers, on reste dans l’arbre en se foutant pas du l’hier qui nous a enfermés dedans. Des secousses pendulaires tagada tsoin tsoin c’est loin de Pi et de l’odyssée. Entends-tu le tigre ? Voici que la couleur doucement remonte à la nage des brumes que les marées se servent pour certains estrans. Je peins pas mon Coeur, je te cause mots d’amour en te mettant le prochain en chemin.
Niala-Loisobleu
24 Février 2016

(En photo : Etudes en cours pour le 7° Aux Jardins de mon Amour)
Ces traits beaux d’amour.
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Le trait, c’est . d’abord ce regard qui refuse la règle. Il a sa main le trait et les doigts de l’Autre pour tracer. Alors peu importe qu’il ondule ou aille droit le trait. Il sait que pour tenter d’être beau il lui faut éviter tout raccourci. Le chemin n’est qu’étages.Il se doit d’être entier.
Merci ‘vy
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Extraire l’eau du sel pour apprendre à lui rendre au-delà de la lisière d’un usage commun, quelle saveur Francis !
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D’abord paisible au soleil l’eau sort secouer son reflet à la première goutte…merci fredonnezmoi.
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Entre le texte du tableau et les mots-peints l’alpha–bête tire comme un boeuf le trait du néant. Sur les espaliers les rizières en rigolent, les histoires d’eau c’est leur affaire !
Merci Madame lit.
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Un tant de canard que chui là carnetsparesseux…
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Le temps des vacances scolaires fait une bataille de giboulées, en fait c’est une formation à la vie ordinaire pour les chers petits…merci Sally.
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Et un peu de vous et de l’atelier…
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Une poquo merci Anna !
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La mutations des formes suit le flux et le reflux, l’inspiration ne lâche rien de la randonnée, monte la hauteur d’ô, du bleu les ocres prennent feu !
Merci laboucheaoreille
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Tu me la fais Duras là…c’est pour m’éventrer, Barbara ?
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oh non…taper doucement des deux poings…
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l’atelier aime tes cous sur la poitrine…
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Coups sans poids.
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Passé la douleur de la déception il est vrai que les coups bas sont sans poids, La souffrance d’y mettre terme est plus humaine que d’entrer en guerre contre.
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