A contre jour des maux d’ordre
Carrefour de solitudes rond-point de rencontre
Tes pieds ne sont chaussés que du vent des océans
De l’humide des déserts
Des écorces des arbres à médecine
Des plumes à peindre le poitrail de la liberté
Des vibrations tectoniques du feu sous la racine de ta première origine
Terre-Mère
Batracienne du sac d’où tu fis sortir les nageoires de nos ailes
Energie de l’intuitive préhension
Que le couteau à nos veines transfusa en chemin romanichel
Du m’aime sang qui tient nos pores amarrés
A tous les jours du calendrier célébrés sans cérémonie par l’amour au quotidien
Voici mes pas
Maie
Les pétris dans les tiens
Ô d’heur de Mie tes bras ont doré le craquant de nos semailles de blé
Niala-Loisobleu
14 Février 2016

Cette toile est magnifique. Moi qui aime regarder par les fenêtres, celle ci donne sur un coin de paradis.
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De l’amour est baie sauvage, force libre que chaque homme colore de son sentiment propre !
Merci Francis, bon partage.
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Je suis bien de l’avis de Francis ! Ces jardins de mon amour sont bien le reflets des mots du poème, enchanteurs et livres des contraintes.
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libres, pas livres évidemment !
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J’avais compris Anne, mais ceci me permet de te dire que je suis ravi de partager ces fautes de frappe que mon in acoutume anse à la machine m’amène à pratiquer souvent.. Votre ressenti à Francis et toi me touche dans ce qu’il a de réalité particulière dans l’alliage du pinceau et de la plume. Mon impression d’avoir peint en écrivant est totale. Merci de l’avoir exprimé.
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Quand vous m’envoyez vôtre Canada, c’est curieux ça n’enlève pas la neige, mais je n’ai pas froid !
Merci Madame lit et Fernan.
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Ici et là les marchands construisent leurs temples et l’amour, le vrai, ben il est pas à vendre !
Merci boiteafoto
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Merci Sally
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