Un parapluie dans la rue et du vent, un bateau de papier froissé
D’odeurs d’herbe en attente
à la page précédente
elle se balade en morceaux
par des fissures d’escalades
que le vent furieux
sort de sous les jupons de la tempête
Indécence
énumérée
lune après l’autre
la pensée s’accroche aux poussées
au temps qu’elle peut
Danger de submersion
les mots
ont péris en mer
dans le froissé
du bateau de papier
Niala-Loisobleu
8 Février 2016

C’est très beau .. Merci
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Très très décoiffé, bel et bien merci c’est moi !!!!
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Cornus attention, rentrez vos troupeaux !
Merci Francis.
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Quand l’absurde se dresse et tient debout, c’est plus de la fiction mais de la télé-réalité !
Merci Boris.
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Le pire c’est qu’un vent pareil ça nettoie pas les gouvernants en place, merde à quoi ça sert alors Jérôme ?
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tu ne me prendras rien de l’amour, alors fout le vent emporte-toit…
merci Madame lit.
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Retourné le parapluie s’est joint aux nuages pour gerber…
Merci manh14
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Avec le vent faire bon ménage c’est que pour la poussière, merci Sally
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Plus forte qu’hier la tempête, et c’est pas fini !
Merci Sacha B.
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Merci Fernan
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Suffit le vent, donnez-moi aut’chose !
Merci Sally.
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