Elle a cousu la porte, les branches et le tronc, feuilles à la corbeille
J’ai vu venir la vague avant que son bruit n’avale l’arbre
Et notre roulotte ?
Echouée au plus loin de la vague
Quand tu pars sans domicile fixe
m’aime plus une poussière de tes seins
ne fait voler les frissons de ton cou
Des fleurs imprimées sur ta jupe
plus une feuille ne couvre tes épaules
Ton claquement de mains
est fichu
il descend en châle à tes talons
casser la voie
Niala-Loisobleu
8 Février 2016

Y a des voies d’eau dans la sirène, vite une éponge que je me mouche !
Merci carnetsparesseux
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Entre les dessous de portes et les chiens qui se sont pas couchés devant, l’air passe et surtout quand il y a grand vent comme en ce moment….merci Jérôme.
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Aujourd’hui va falloir s’amarrer…merci Sally
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Quel beau poème ! …
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La jupes des vagues au-dessus de la tête, la mer montre son vrai caractère !
Merci Sacha B.
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