Un vide grrrrrrr nié ça te dit ?
« A te regarder devant la glace du quotidien, tu ne vois que l’image en partie déformée par l’interposition de la pensée des autres à ton égard, lui dis-je in petto avant que la faune des réseaux sociaux ne déboule dans la conversation. »
Je vis un grand reste de chandeleur parti du coin de son oeil droit embraser le gauche . Et pas que le regard, à ses défroncements frontaux, décontraction des zygomatiques que le courant serein était en marche dans ses creux privés.
« Ben oui tu es unique, ne l’oublie pas »
Il y a le ciel et l’amer, dans une proportion où le principe inéquitable est majeur. Alors les abus, les tromperies, les trucs qui trahissent et qui trompent, qui abusent et t’abusent, excuse-moi on va passer dessus en ne retenant que ce qui seul doit compter : le principe de ton individuation.
ÊTRE OU NE PAS ÊTRE, l’english au crâne chauve qui erre en cent pas dans sa chambre n’a toujours pas été enlevé du programme des terriens. On le joue non stop à la Comédie Humaine. Si tu pars du seul absolu qui compte : le temporel, qu’est-ce que tu vas aller t’emmerder avec un truc éternellement fondu comme la névrose et ses possibilités d’ouverture sur la paranoïa. Enfin mets donc sur le devant tous ses trésors que tu tiens à l’ombre dans ton intérieur.Un simple compte montre que dans les kilomètres du parcours, y a davantage du con battant en retraite que du combattu par k.o….
Un vide grrrrrrr nié ça te dit ?
http://www.jrcoaching.fr/coaching/chemin-individuation-jung.php
Niala-Loisobleu
3 Février 2016

Tous les matins je suis la Charente par le chemin de mon journal. Je m’arrête toujours dans une touffe d’iris d’eau pour pour discuter avec un couple de canards. Symbole de l’amour, ils vont toujours par d’eux…
Merci carnetsparesseux
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Et comme si …vous en reprendrez bien une couche !
Merci Sally
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Je viens de voir le bordel du lien, je l’ai corrigé, comme quoi on peut toujours s’améliorer…merci Francis.
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GASTON MIRON…Extrait
…
Le vent rend l’âme dans un amas d’ombre
les étoiles bourdonnent dans leurs feux d’abeilles
et l’air est doux d’un passage d’écureuil
tu déjoues le monde qui assiège nos lieux secrets
tu es belle et belle comme des ruses de renard
Par le vieux silence animal de la plaine
lorsque fraîche et buvant les rosées d’envol
comme un ciel défaillant tu viens t’allonger
mes paumes te portent comme la mer
en un tourbillon du coeur dans le corps entier
GASTON MIRON
Quand elle pose ses sains dans mes mains
je marche à l’amble de l’équilibre
qui soutient mieux nos gorges que des bretelles d’autoroutes Madame lit…
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