APPARENTS DANS LE RIEN
Les yeux au creux des cheveux où ton cou se cache du vent
juste penser mourir la virgule de ces mots habillés
pour en allumer tout simplement d’autres nus
Les absences de simulations de carrière soulèvent le m’aime réel besoin
Ce qui dresse nos pierres l’une sur l’autre
en restant libre d’adoubement seigneurial
retrouve le souffle originel
quand la cathédrale faisait d’abord son tracé au sol
sans penser aux prolongements a tirer de l’harmonium
Intercalons-nous – en parenthèses – dans les faits divers en boucle
Pour vivre-là
où l’amour ne fane pas
Sans revouloir mourir d’une érosion au quotidien
triste chaussure de vair attelée aux restes de la citrouille du carrosse imaginé.
N-L 25/01/16

Qu’importe d’être ignoré des autres si l’amour t’a reconnu à quatre mains.
Merci Valentyne
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