
Tu marches sans un doigt qui manque
sans courir
la mer est-ce qu’elle dépasse son mascaret dans la gorge de la source ?
Tu te tais
la laideur est si prompte à se lever
que déjà elle a applaudi avant que l’imposteur soit paru
L’aqueux au site de rencontre
assèche le murmure de l’ô
je me souviens du chemin de chaque petit caillou avant qu’on me trompe
ballade du pendule sauce ma der
Le mauvais goût c’est l’à venir de l’homme
en marche vers sa déverticalité.
Niala-Loisobleu
21 Décembre 2015
J’en ai assez des nourritures fades. L’art est violence. L’art est arrachement. Avec toutes ses qualités, le classicisme est tout ce qui, à présent, m’ennuie férocement. Je me délecte mieux au cri qu’au murmure ; mieux à la sincérité de l’âme qu’à l’habileté virtuose, mieux à la vie sanguine qu’au velours des mondanités. Le savoir-faire ne m’intéresse guère. Je veux, de l’art et de l’artiste, l’expérience. Il manque à cette littérature bourgeoise d’être allée traîner un peu dans les rues.
Le jardin fermé : Carnets 16, 1994
Louis Calaferte
Merci Carnetsparesseux
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Un air pressé met le citron sous pression, la nature déjante de mi-graine poussé par l’homme à n’avoir pas le temps de digérer…merci Jérôme.
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Merci On met les voiles !
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Merci
KO_DO bonne nuit !
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Moi aussi, je me déverticalise…
Penchée vers les fous
Pour entendre leur cris
Parce qu’eux seuls
Au final savent me rendre
Le paradis accessible 😘
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Merci Sally je t’embrasse fort !
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