
VERS UN JARDIN
J’entends la suffocation de l’herbe jusqu’au caillou, quand l’âme bute contre les volets clos.
Dans le noir, tends les bras, avance, ici tu sens le dossier de la chaise, avance encore, plus à gauche, oui, c’est bien un battement de coeur que tu entends.
Tu arrives à la cheminée, pas besoin d’allumer, accroupis-toi et souffle doucement sur les braises que tu aperçois.
Le facteur est en route, tellement d’amour dans son bouquet qu’il siffle en pédalant, pourtant ça monte…
Le voici mon Liseron, sauvage, mon calice
Niala-Loisobleu
4 Décembre 2015

Fleur des haies le liseron, harmonise l’obstruction avant de l’escalader…merci Charles.
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Le méplat confronté à la bosse, dresse ses pattes de derrière et saute….merci On met les voiles
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[…] Source : VERT UN JARDIN […]
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merci musnadjia423
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